Pour l'amour du français
Datte: 25/06/2019,
Catégories:
h,
fplusag,
jeunes,
profélève,
école,
amour,
cérébral,
revede,
Masturbation
nopéné,
Auteur: Balou, Source: Revebebe
J’avais 16 ans en 1979, jeune collégien, grand échalas, timide avec les filles. Ma prof de français s’appelait Catherine. Jeune femme célibataire que nous soupçonnions, mes copains et moi, de coucher avec le prof de math. On se fait souvent des idées lors de l’adolescence, non ?
Catherine était une femme élégante, grande et élancée, la trentaine, cheveux châtain foncés. Je devinais ses rondes formes sous les vêtements qu’elle portait.
Elle nous faisait apprendre le Bescherelle par coeur, maniaque de la grammaire qu’elle était. Puis nous devions conjuguer devant la classe le verbe et le temps qu’elle avait choisis, pour ensuite écrire au tableau noir les réponses attendues par ses soins.
De part ma haute taille et ma cancrelardise, je m’autorisais à m’asseoir au fond de la classe près des radiateurs et des fenêtres, dans toutes les matières sauf en français. J’aimais être proche de Catherine pour admirer sa silhouette, reluquer ses jambes, voir ses doigts manier avec agilité la craie blanche sur le tableau. Je prenais un soin tout particulier à apprendre ses leçons, j’aimais me faire remarquer à ses yeux. Lorsqu’elle me souriait, je rougissais comme le puceau que j’étais (mon dépucelage n’aurait lieu que deux mois plus tard). Elle portait souvent de longues robes comme c’était à la mode vers la fin des 70’s. En plein cours, je m’imaginais, agenouillé sous sa tenue, respirant les effluves de son entrecuisse, ma langue parcourant ses cuisses et léchant sa douce ...
... peau.
Souvent une violente érection survenait lorsqu’elle passait près de moi pour déposer les copies corrigées ou faire la dictée. Je regardais la feuille devant moi, je savais que ses doigts en avaient touché le papier, ses douces mains l’avaient tenue comme elles tenaient ma verge d’adolescent entre elles. Catherine hantait mes pensées, et la nuit seul dans ma chambre je me masturbais longuement avec elle.
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Un matin, je roulais sur mon vélo en filant vers le collège. Sur le bord de la route je vis de loin une R14 arrêtée sur le bas-coté. Mon sang ne fit qu’un tour. Ma prof de français était en panne. J’accélérai mes coups de pédale pour lui porter secours. Un peu essoufflé, je freinai brutalement devant la voiture.
— Bonjour Madame, puis-je vous aider ?
— Oh Balou quelle surprise mon garçon ! Oui j’ai un pneu à plat.
D’autorité, je lui pris le cric des mains.
— Laissez-moi faire, vous allez vous salir.
Elle ne pipa mot. Je m’agenouillai sur le bitume et avec la manivelle je dévissai les écrous de roue. Ensuite je calai le cric sous le bas de caisse pour soulever le véhicule. Et je continuai à dévisser entièrement les écrous pour retirer la roue défectueuse.
Pendant toute l’opération, je sentais le regard de Catherine posé sur moi. Nous ne disions rien. Sur cette route de campagne, seuls les oiseaux sifflaient au loin. Ce mois d’avril était pluvieux. Mes genoux me faisaient un peu souffrir sous mon jeans car j’étais obligé de me caler sur ...