1. Le masque d'Amazonie ou les fantasmes d'un nouveau gay. (1)


    Datte: 23/06/2019, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Viens !
    
    Ses doigts se posèrent dans la raie de mon cul. Il m’enduisit la rondelle avec un onguent qui me détendit et me lubrifia.
    
    Puis, il se mit au-dessus de moi, tendant ses bras et ses jambes pour me surplomber. Il appela Alejandro. Celui-ci empoigna l’énorme verge pour la guider vers l’orifice. Le vieillard se coucha sur moi, toujours appuyé sur se bras tendus à fond. Alors, il poussa l’énorme mandrin en moi. Il s’enfonça comme dans du beurre. Douleur et plaisir se mélangèrent instantanément puis il ne resta plus que la plénitude du pénis.
    
    Alors il me défonça avec une vigueur indescriptible. Toujours cramponné aux sexes immobiles, j’encaissais les coups en geignant. A chaque fois qu’il se retirait et repoussait au fond d’un puissant mouvement de rein, mon corps était secoué. Il accéléra et me pulvérisa le cul.
    
    Quand il se retira au bout d’un très long moment, je sus ce que j’avais à faire.
    
    Je me mis à genoux, au-dessus de la queue de pierre la plus proche et me plantai dessus. C’était extraordinaire et je dansai sur le gode minéral comme un fou. Je ...
    ... renversai la tête en arrière et ouvris grand la bouche. L’énorme gland turgescent plongea jusqu’à ma glotte. Puis le sorcier le ressortit et éjacula comme seul un animal pourrait le faire. Jamais je ne vis autant de foutre. D’abord, un énorme tir s’écrasa sur mon visage, comme si on m’avait déversé un yaourt sur la face. Puis la pine déversa un jus onctueux et savoureux comme si elle avait uriné du sperme. Je ne pus tout avaler bien que je le trouvasse excellent. J’avais bien sûr déjà mis le doigt au bout de ma queue autrefois pour goûter mon jus, mais je l’avais trouvé salé et amer et n’avais pas compris qu’on pût aimer cela. Mais la sauce du vieux était un nectar précieux. Il termina par trois ou quatre tirs moins abondants, mais beaucoup plus vifs et beaucoup plus amers.
    
    Les deux vicieux qui nous mataient ne s’y trompèrent pas. Ils vinrent lécher sur mon visage le foutre du sorcier avec une avidité de morts de faim. Et dans leur voracité, ils vinrent chercher le précieux liquide jusque dans ma bouche. La langue de Juanito fut la première que je rencontrai.
    
    A suivre 
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