Le masque d'Amazonie ou les fantasmes d'un nouveau gay. (1)
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... couilles pendantes presque jusqu’à mi-cuisses.
— Le truc de ouf ! Comment il fait ça ? Comment il fait danser son braquemart sans bouger ?
Mes deux compères bandaient aussi et leur taille ne laissait pas de m’impressionner. J’avais certes déjà vu celle de Juanito furtivement, mais elle me paraissait beaucoup plus grosse maintenant. L’éclairage peut-être... J’étais cependant nettement moins bien monté qu’eux.
Puis le shaman approcha le masque de sa bite et fit passer le gland à travers l’orifice qui servait de bouche. Il lâcha et le machin tint en équilibre sans faire baisser la tige d’un millimètre vers le sol. Il devait être très léger.
— A toi !
— Quoi ?
— Prends le masque.
Je m’approchai et retirai l’objet de son perchoir.
— Regarde-le !
Je le fis et on m’éclaira davantage.
C’était plus lourd que prévu, dans un bois très dense pourtant travaillé avec une extrême finesse. Les pavillons des oreilles étaient des bites, et les lobes des couilles. Les lèvres étaient aussi des bites avec un gland à chaque extrémité qui se confondait avec le gland de la lèvre inférieure.
Les yeux étaient à l évidence des trous de pines.
— Mets-le !
— Autour de ma bite ? questionnai-je un peu inquiet, car, comme je n’étais pas excité du tout, je ne voyais pas comment il pourrait tenir.
— Non ! sur ton visage.
Je l’approchai.
— Attends, dit Juanito... Une fois que tu l’auras mis, tu seras gay. Réfléchis bien.
— Il va falloir plus qu’un vieux ...
... truc en bois avec des motifs de bite pour que je vire ma cuti, je te le dis !
Et je le coiffai. Sereinement. Le sorcier chantait.
Aussitôt, je fus pris de vertiges. Des images pornographiques défilèrent dans ma tête à une vitesse folle. C’était comme si j’étais ivre, non pas d’alcool, mais de sexe. Je sentis une forte chaleur au niveau de mes tétons, de mes aisselles et de mon sexe.
Puis je tombai en avant, mais très lentement. Mes pieds quittèrent le sol. J’étais parfaitement conscient, mais je me demandai si on m’avait drogué.
Enfin, je me trouvai parallèle au sol dont je me rapprochai.
Mes jambes et mes bras se tendirent en X. Mon sexe gonflait, mon cul ruisselait. Mes mains touchèrent le bout des verges de pierre. Aussitôt, je les agrippai et le masque tomba. Il rétrécit et finit par pendre à une cordelette autour de mon cou.
Plus lentement que si j’avais été une plume, je me posai à terre, toujours le corps en X. J’empoignai fermement les statuettes de bites et attendis.
Je savais que le sorcier était debout derrière moi. Je ressentis alors profondément mon attirance pour les hommes, comme une telle évidence que c’était comme si j’avais toujours été gay et que je l’avais toujours désiré et su.
Le maître de cérémonie dit quelque chose dans sa langue que je compris malgré tout.
— Il faut que je vienne pour achever ce qui a été commencé.
Je savais qu’il allait m’enculer et je ne désirais rien de plus en ce moment. Je répondis en suppliant.
— ...