1. Souvenirs de Venise


    Datte: 23/06/2019, Catégories: fh, extracon, vacances, hotel, amour, Oral pénétratio, fsodo, nostalgie, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... femme. Toujours ce petit décalage, même de quelques secondes, qui fait que les amants ne montent pas comme à l’instant. C’est divin.
    
    Il nous faut un long moment pour que nos corps retrouvent un semblant de calme. Je sens ma bite à peine ramollie et presque prête pour un deuxième round.
    
    — Il faut que je remonte, dit alors celle qui vient de se donner à moi.
    
    Ces quelques mots me rappellent que moi aussi je devrais retourner dans ma chambre.
    
    Mais avant de se lever, la femme caresse mon cou et sous l’oreille avec de délicats baisers et me susurre :
    
    — Merci. C’était… c’était extraordinaire… Jamais je…
    — Moi aussi, dis-je ; et je continue : on pourrait…
    — Chut ! me dit-elle en posant sa main sur mes lèvres.
    
    Je comprends. Elle a raison. Une rencontre d’un soir. Juste un souvenir. Pas de suite.
    
    J’ouvre la porte de ma chambre sans faire de bruit. Rose doit dormir.
    
    Mais non, je la découvre assise dans un fauteuil en train de regarder la télé.
    
    — Je commençais à m’inquiéter.
    — J’étais au bar. Je pensais que tu dormais.
    
    Elle se lève. Elle est en peignoir.
    
    — Non. Après ton départ, je me suis sentie coupable de t’avoir repoussé. Ce voyage, tes attentions, alors que moi j’ai été désagréable et pas à ton écoute.
    — C’est pas grave.
    — Mais si, c’est grave. Aussi je t’ai préparé une surprise pour me faire pardonner.
    — Une surprise ?
    — Oui, regarde.
    
    Et elle défait son peignoir. La coquine rit de mon étonnement.
    
    — J’ai pensé que cela te ...
    ... plairait.
    
    Bien entendu que cela me plaît. Rose porte ce que nous avons acheté pas plus tard que cet après-midi dans une boutique découverte au hasard des petites rues qui serpentent dans Venise. La lingerie proposée était à la fois coquine et élégante, et je n’avais pas résisté au plaisir d’offrir un ensemble à ma femme.
    
    Cela lui va à ravir, surtout que j’ai réussi à lui faire porter un porte-jarretelles, qui pour moi est le summum de la sensualité. Le string ne cache pas grand-chose de sa féminité, et lorsqu’elle se tourne pour se faire admirer, ses fesses sont de véritables pousses-au-crime. Et que dire de ses seins, à peine retenus par le soutien-gorge qui propose plus qu’il ne retient…
    
    — Je te plais ? Ça ne fait pas trop pute ?
    — Oh que si, chérie, cela fait un peu pute, mais c’est ce qui me plaît. Je vois tes tétons qui pointent. Je devine à travers la soie transparente ta fente libre de tout poil alors que le ruban qui s’est caché dans la raie de tes fesses m’invite à le suivre. Mais je ne vais pas te le dire : tu serais peut-être vexée que je te compare à une pute. Non, pas du tout. Tu es très élégante… Élégante et coquine…
    
    Elle sourit et avance vers moi.
    
    — Il n’est pas trop tard pour me rattraper, n’est-ce pas ?
    
    Mais sans attendre ma réponse elle commence à me déshabiller. « Il y a des jours comme cela… » dirait un homme blasé et accumulant les conquêtes. Mais ce n’est pas mon cas, et c’est bien la première fois que deux femmes se chargent de me déshabiller dans ...
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