Souvenirs de Venise
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... femme ainsi. Je me contente de l’encourager par des gémissements, par des « Oui, comme ça, continuez… » Mais elle a d’autre envies. Elle laisse mon mandrin gluant et raide comme un poteau pour se relever et se placer pour me chevaucher. J’ai juste le temps de l’arrêter en disant :
— Vous avez une capote ?
— Non ; et vous ?
— Pas plus.
Nos regards se croisent et on peut y lire le dépit. On aurait dû en demander au barman ; il avait certainement de quoi nous fournir.
— Vous êtes fidèle ?
La question me surprend, mais je réponds.
— Oui.
— Moi aussi, précise celle qui est dans une position bien inconfortable.
Oui, je suis fidèle, ou tout le moins je me protège pour mes très rares escapades.
La femme ne cherche pas plus loin. Elle est comme moi, chaude, bouillante, et elle n’envisage pas de rester en plan pour la deuxième fois de la soirée. Elle s’empale sur moi. C’est tout de suite une furie qui se baise sur ma queue. Elle se frotte, elle ondule, elle se tortille avec un entrain contagieux. C’est si beau. C’est si bon. Sa chatte est étroite, et pourtant mon mandrin y coulisse avec facilité.
Ma cavalière est toute à son plaisir. Elle me monte à cru et je vois ma queue entrer et sortir dans cette fente que parfois sa main me cache. Elle est droite comme la vertu, se caresse les seins, joue avec son bouton. Son visage est troublé, luisant de sueur, de cette sueur que le corps exulte dans ces moments-là.
Un premier plaisir ! C’est une évidence. Elle ...
... frissonne. Je sens dans tout mon corps son plaisir qui se répand. Elle bouge encore, insatisfaite et toujours à la recherche de plus.
Et puis elle s’effondre sur moi. Je sens son corps peser délicieusement sur le mien, son ventre se plaquer au mien, ses seins se frotter à ma poitrine et aussi son visage contre mon cou, sa respiration haletante.
Je commence alors ma possession. D’abord par un simple mouvement du bassin qui pousse puis se retire, et puis très vite alors que ma partenaire ne cesse d’accompagner mes poussées par des « Oh ! Oh ! Oui ! Oui ! » qui sont mes aiguillons, par de francs coups de reins qui emmènent ma bite au plus profond de la matrice. Nous ne faisons qu’un, rivés par mon bâton de chair mais aussi par mes bras qui enveloppent ce corps si délicieux.
C’est si bon ! Ma bite coulisse facilement dans ce milieu humide de sucs et de jouissance. Les « Encore ! C’est bon ! Oui… » sont des encouragements, et mes coups de reins transforment ma bite en un piston puissant, puissant mais de plus en plus sensible, prémices à ma jouissance qui se prépare.
— Je viens… Je viens… dit la femme.
C’est comme un signal. Aussitôt je sens ma sève monter pour aller jaillir au plus profond. La femme se tortille sur moi. Un observateur aurait cette vision de sa croupe qui cherche le mâle, sa sauce, sa crème. Mes bourses sont intarissables. Ma bite nage maintenant dans un océan de foutre. Ma jouissance est magnifique. Rarement je n’ai joui parfaitement synchrone avec une ...