Souvenirs de Venise
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... la même soirée. Et même cause, même effet : me voici nu et en érection.
— Mon pauvre chéri ! Dans quel état tu es par ma faute… me dit Rose avec ce regard que je connais bien et une touche de perversité qui est le signe d’une envie bien particulière. Mon pauvre chéri, je n’ai pas été gentille avec toi.
Je sais où elle veut en venir. Cela fait partie de nos jeux qui, au fil des années, agrémentent et renouvellent notre libido.
— Non.
— Je mérite d’être punie. Je suis une vilaine fille.
Voilà, c’est dit.
— Oui, une vilaine femme qui se refuse à son mari. Allez, baisse-toi ; tu sais ce qui te reste à faire.
Rose s’agenouille et bien vite me gobe. C’est une vrai pro de la fellation et de la gorge profonde. Je ne connais qu’elle qui soit capable de me prendre en entier dans sa bouche.
Rose vient d’un milieu où la virginité est indispensable au moment du mariage. Aussi, celles qui ont le sang chaud et qui veulent pourtant profiter des plaisirs de la chair ont appris à contenter un homme par d’autre méthodes. Je ne l’ai possédée vraiment qu’après notre mariage. Elle était vierge. Mais quelle hypocrisie, car avant j’avais droit à sa gorge et à son cul. Et si je n’ai jamais vraiment posé la question, je sais que bien d’autres avant moi avaient eu droit à ce traitement. Mais en plus, Rose à un don. Un don que toutes les femmes devraient avoir : pouvoir gober entièrement la queue de l’homme.
Je ne connais rien de meilleur et de plus beau que de voir des lèvres ...
... avancer lentement, passer le sillon entre gland et hampe, ramper lentement pour venir buter contre les couilles et le pubis. Et alors les mêmes lèvres qui repartent en arrière abandonnant de la salive en filets indécents mais si érotiques. Et que dire alors que les joues se creusent, que la langue lèche, que chaque couille est gobée l’une après l’autre ?
— T’aimes ça, cochonne, me bouffer la queue ?
C’est son regard qui me répond alors que je bloque sa tête de mes mains afin que, millimètre après millimètre, j’avance encore plus. Son regard, avec les yeux pleins d’eau, de ces larmes qui sont le signe de ma puissance ! Je la libère. Elle reprend son souffle. Mais déjà je me propulse à nouveau.
— Voilà, c’est tout ce que tu mérites. Vicieuse ! Cochonne !
Rose adore que je la maltraite de la parole et des gestes. Cela l’excite, et bien entendu moi aussi. Un psy dirait que c’est pour conserver son équilibre alors que pendant son travail, elle passe son temps à commander, diriger.
Sa gorge laisse passer les gargouillis infâmes de ma bite qui brasse un flot de salive. Elle éructe. Elle tousse. Elle pleure. Un spectateur pourrait penser que je brutalise mon épouse ; il aurait raison, mais c’est avec son consentement et un vice que nous entretenons pour notre plus grand plaisir. Mais il ne pourrait pas deviner que malgré cette position de femme soumise, c’est elle qui décide vraiment.
Parfois nous continuons jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche et que mon foutre ...