Nuit d'épouvante
Datte: 18/06/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
bizarre,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... c’est trop bon !
Il arrête son balancement, reste immobile, puis après quelques secondes, se dégage. Elle est au paradis, se sent merveilleusement bien dans ses bras, rassurée. Quel formidable amant ! Mais dans son dos, elle sent la barre qui n’a pas fléchi.
— Tu n’as pas joui, tu veux encore me baiser ? Viens, n’hésite pas.
— Oui, mais tu as un cul magnifique, je préférerais t’enculer, tu veux bien ?
— Oh non, pas ça !
Le cri a jailli dans un réflexe, inconsciemment.Je ne peux pas ! J’ai toujours refusé qu’on me le fasse, les copines disent toutes que c’est douloureux, horrible. Il va m’exploser. Mais par ailleurs, si je le repousse, il risque de se déchaîner, et me tuer.
— Oh non, je suis pucelle, j’ai trop peur d’avoir mal.
— Si je t’avais laissée, les trois autres te l’auraient fait !
Lui reviennent en mémoire les mots qu’ils lui lançaient :
— on t’enculera.Cela aurait été terrible car eux, auraient été brutaux, c’est certain. Je fantasme sur ça depuis longtemps. Mais j’ai toujours eu peur. Tant pis, j’accepte, espérons que ce ne soit qu’un mauvais moment à passer, je ne peux pas faire autrement, j’y vais.
— Je crains que tu me déchires.
— Ne crains rien, je serai très doux. Tu as de la crème de beauté ?
— Oui, je vais la chercher.
Je vais y passer. Impossible d’y échapper. Oh, et puis ce sera fait, pense-t-elle.
Il a repris des caresses, surtout entre ses fesses. Sa langue à nouveau se glisse dans son trou. Puis il introduit un doigt bien ...
... salivé, le fait coulisser.C’est plutôt bizarre. Puis un deuxième.C’est supportable, pas trop douloureux pour l’instant, pense-t-elle,mais avec son énorme engin ! Puis il se replace derrière elle. Ça y est, le moment est arrivé. Il commence par la baiser en levrette un moment en lui excitant le clitoris de la main. Le plaisir revient, oubliant ses craintes, elle mouille.
— Écarte tes fesses.
Voila le moment critique. Des deux mains, elle ouvre au maximum son entrejambe. Il enduit l’anus de crème, en introduit avec son doigt. Puis l’énorme pal se présente.
— Détends-toi.
Elle essaie de ne penser à rien, seulement au doigt qui l’excite par-devant. Une violente mais brève douleur, arrêt, le gland est passé. Puis lentement elle le sent s’enfoncer en elle.
— Ça va petite, tu n’as pas trop mal.
— Non, pas trop, ça va.
C’est presque la vérité, elle supporte ce suppositoire avec moins de mal qu’elle ne le craignait. Une main est revenue sur son bassin, un doigt excite son bouton, un autre, replié la pénètre par-devant. L’autre main a repris la caresse sur le sein. Elle qui s’inquiétait terriblement de cet acte, la voila enculée jusqu’à la garde et elle ne souffre pas trop.
Immobile, il continue la caresse sur le devant. Elle sent revenir le plaisir, un plaisir douloureux. Puis il se met en branle lentement,oh, que ça fait mal, ça brûle ! Heureusement, la crème facilite un peu le mouvement. Quelques minutes, elle commence à supporter. Arrêt, enfoncé à fond, son ...