L'Autre Univers (3) - Histoires de Sexe

L'Autre Univers (3)

... aux longs ongles se sert autour de mon sexe, me faisant frémir de plaisir. La belle commence de lents et longs va-et-vient, jusqu’à ce que je grogne son prénom :

— Tu veux ta surprise, mon beau ?

— Oui...

J’ai chaud, j’ai froid, j’ai envie... Tout mon corps tremble, alors qu’elle plaque sa poitrine contre la paroi carrelée, levant légèrement la jambe. Sa cambrure me tue, tellement je la trouve belle et désirable. C’est plus qu’une femme, tout en étant juste cela... Je n’arrive plus à réfléchir, alors que je m’approche d’elle, plaquant mon front contre sa nuque :

— Prends-moi déjà par l’avant, puis après, tu pourras aller derrière... Mais vas-y doucement : c’est ma première fois, tu sais ?

Je ne réponds rien, me contentant d’entrer délicatement dans les profondeurs douces et chaudes de son intimité. Elle pousse un petit gémissement, avant que je ne commence à la prendre, prenant ses hanches dans mes mains, pour y aller encore plus fort. Elle gémit mon prénom, tandis que je sens déjà ma sève monter le long de ma tige. Elle soupire de plaisir, ondulant des reins, jusqu’à ce qu’elle me murmure :

— Prends-moi par-derrière... Maintenant... Je suis prête...

Je lui murmure une réponse, avant de m’échapper de son être, pour poser mon gland contre sa sortie palpitante :

— Tu es sûre ?

— Tu peux y aller sans avoir peur : je ne suis pas en sucre. Soit juste un peu plus doux que par l’avant...

— J’espère que tu vas aimer.

— Si tu prends toujours aussi ...

... bien soin de moi, je ne me fais aucun souci : je vais aimer ça à mort...

— Alors, prends ta respiration.

Elle fait ce que je lui recommande, avant que je n’entre directement dans son anus. J’y vais tout en douceur, centimètre après centimètre, tandis que ma partenaire se cambre un peu plus, encaissant ma longueur, en poussant des petits cris de douleur. Je suis sur le point de m’arrêter, mais elle place sa main sur mes fesses, me forçant à continuer :

— Tu es sûre ?

— Vas-y... La douleur va finir par devenir du plaisir...

Je ne sais pas si cela est vrai, mais je continue de la prendre en douceur, la sentant se contracter autour de mon sexe, jusqu’à ce qu’elle me murmure :

— C’est bon... Ça commence à faire du bien... Tu es si épais... Je ressens tout, c’est vraiment trop bon...

— Je ne suis pas énorme : c’est toi qui es toute serrée...

— Vas-y un peu plus fort : tu vas me faire grimper aux rideaux... Je vais venir du cul, putain !

Elle a l’air complètement au bout de sa vie, comme si toute la pression qu’elle avait accumulée au cours de cette soirée... Partait d’un coup, pour qu’elle commence à jouir. Son corps se resserre autour du mien, alors qu’elle pousse un couinement de pur plaisir. Je tente de me retenir, mais je suis un homme faible :

— Ça vient...

— Donne-moi tout ce que tu as, mon chaton... Vide-toi encore...

— La meilleure baise de toute ma vie...

— Ouiii...

Et je me déverse dans son fondement, entièrement, en de longues ...