Il faut sauver le soldat Betsy
Datte: 11/06/2019,
Catégories:
fh,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Humour
policier,
Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe
... entrez en guerre à nos côtés, il va y avoir du sport ! Détective, sortez la main de votre poche ! Si une de vos couilles explose, vous serez manchot ! Déconnez pas avec ça ! Je me souviens que durant une mission à…
— Prenez des armes, lança Wilkins ; les Esteraz…
— Merci du conseil Mon Général !
— Ah oui, dis-je, les Esteraz. Général Wilkins, j’aimerais comprendre cette histoire de guerre avec vos voisins !
— Une longue histoire ! Une sale histoire ! C’est moche… Des gens très bien, des voisins parfaits ! Mais ils cachaient un terrible secret ! Une affreuse trahison !
— Expliquez-vous Général Wilkins.
— Un matin d’infamie, j’ai surpris Robert Esteraz en train de mettre son sac-poubelle dans ma benne. Madame Wilkins ne s’en est pas remise, j’ai bien cru devoir l’envoyer en thérapie, ça lui a retourné le ciboulot ! Et quant à moi j’ai pris les armes ! Et je ne suis pas prêt d’enterrer la hache de guerre ! La semaine dernière encore, une opération minutieusement préparée a conduit à un superbe succès ! Je me suis faufilé derrière la haie ! Armement : le bac de la tondeuse à gazon ! Couverture : mon fidèle Ramos sur le balcon de la chambre d’ami, et Madame Wilkins qui surveillait les fenêtres donnant sur la façade ! Objectif : vider le contenu du bac sur la pelouse de l’ennemi ; une parfaite réussite !
— Attendez ! Vous êtes en train de me dire que vous faites tout cela juste pour une histoire de poubelle ?
— Et qu’est-ce que vous croyez, que je vais me dégonfler ? Chez ...
... nous, dans l’armée, nous avons des paires de couilles plus grosses que tout le Maryland !
Je refusai d’en entendre plus, repris une lampée de bourbon et sortis à la suite de Pout et Karen. Pout n’arrêtait pas de hurler des encouragements bourrés de testostérone à tous les gens qu’il croisait. Il beugla des ordres aux gens qui étaient encore présents dans la cave, leur donnant des instructions sur ce qu’il appelait un « déploiement ». Je me dis que cette histoire devenait du grand n’importe quoi. J’étais pris entre une bande de fous à la tête d’une sorte de milice paramilitaire, une guerre de voisinage sur fond de poubelles et un setter dans la nature…
— Karen, glissa Pout alors que tout le monde sortait de la cave, faites-moi plaisir jeune fille, allez vers cette caisse là-bas, et prenez-y une grenade.
— Une grenade ? Mais pour faire quoi ?
— La glisser entre vos cuisses, si vous êtes capturée par l’ennemi, le salopard qui tentera d’abuser de vous aura une drôle de surprise.
— Mais quel ennemi ? On ne sait même pas s’il y en a un, dis-je sur un ton qui frisait la cour martiale. Les voisins ? Vous pensez qu’ils ont enlevé le chien ?
— Eux ? Oh je n’y crois pas. Lui est comptable et sa femme est médecin, ils n’ont pas l’entraînement nécessaire pour pouvoir s’attaquer à la mascotte du régiment. Les pertes seraient trop nombreuses. Mais il y a peut-être un ennemi caché, une cinquième colonne, l’œuvre d’une puissance étrangère hostile ! Imaginez des forces terroristes qui ...