Isabelle - Histoires de Sexe

Isabelle

... enfin et se retira. Il se présenta alors devant elle et souffla :

— Nettoie-la.

Malgré son dégoût, elle prit le membre en train de mollir en bouche et lui rendit sa propreté d’origine. Tout en remettant ses braies en place, il souffla :

— Ça mérite bien deux pièces d’or…

Isabelle le remercia silencieusement alors qu’il insérait deux rondeurs froides et métalliques au creux de son ventre. Puis, il se dirigea vers la porte et lança :

— Madame Cyril viendra te voir pour te laver et te raser à nouveau. Je veux que tu sois parfaite pour moi. N’oublie pas que tu peux partir à tout instant, maintenant même si tu le souhaites.
— Non, merci mon seigneur et maître, mais je veux rester.
— Bien, à ce soir alors.
— Bon après-midi mon seigneur et maître, dit Isabelle sur la porte qui se refermait.

Elle essuya les larmes qui subsistaient. Il pouvait être merveilleusement tendre et horriblement brutal quand il le souhaitait et elle le haïssait pour cette dualité. Elle s’assit et reprit son souffle. Elle n’avait jamais été aussi riche depuis son arrivée. Quatre pièces. C’était un record. La douleur le valait largement. Isabelle resta plusieurs heures seule et puis Madame Cyril vint la chercher. Après lui avoir passé une cape sur les épaules, elle l’emmena dans une autre pièce où elle fut rasée et lavée. Puis, elle fut reconduite à la chambre du seigneur où elle resta seule jusqu’au retour du seigneur, les serviteurs ayant profité de son absence pour agir.

Il revint ...

... après la tombée de la nuit, suivi de près par deux serviteurs apportant le dîner. Ils jetèrent tous deux un regard rapide sur Isabelle mais ne s’attardèrent pas. Isabelle et le noble furent très vite seuls.

— Tu as faim ? demanda-t-il en s’asseyant.
— Oui, mon seigneur et maître, répondit-elle en faisant la moue.
— Ça ne va pas ? interrogea-t-il en remarquant son visage tordu.
— J’ai très envie d’uriner, lui apprit-elle.
— Hé bien vas-y, c’est dangereux de ne pas satisfaire ce genre d’envie.
— Oui, mais… Je…
— Tu as peur de perdre tes gains ? Qui puis-je si tu es incapable de maîtriser ton propre corps ? En tout cas, c’est dangereux de rester ainsi. Je refuse que tu restes dans ces conditions alors soit tu t’en vas, soit tu évacues ce liquide douloureux. Je ne veux pas être responsable d’un quelconque problème de reins chez toi. Tu es arrivée ici en pleine forme et je compte bien que tu ressortes dans le même état… peut-être même mieux nourrie.

Isabelle regarda le noble. Il semblait réellement se préoccuper d’elle. Isabelle pensa sérieusement à partir. Après tout, quatre pièces d’or, ça n’était pas si mal. Elle réfléchit un bon moment pendant qu’il grignotait les premiers mets et se servait ses premiers verres. Son père ne lui en voudrait certainement pas de rentrer maintenant. Elle rapporterait avec elle une véritable fortune, largement suffisante pour leur permettre de vivre de nombreuses années sans souci et de faire refaire entièrement la ferme et les champs ...