1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... son visage, posa simplement ses lèvres sur les siennes dans un rapide, fugace mais tendre baiser puis passa à côté d’elle en lui caressant gentiment la tête.
    
    — Tu dors par terre, à côté de moi, sur le tapis. Prends la couverture. Malgré le feu, les nuits sont fraîches.
    
    D’un geste rapide et sur de quelqu’un d’habitué à effectuer ce geste, il rabattit les rideaux entourant le lit et s’y engouffra. Isabelle l’entendit se mettre sous les draps puis il n’y eut plus que le silence. Isabelle souffla les bougies puis se coucha sur le tapis. Il s’avéra plus tendre que sa paillasse à la ferme. Habituée à s’endormir à la tombée de la nuit et non aussi tard, elle s’endormit très vite.
    
    Elle se réveilla à l’aube, le coq la tirant d’habitude de ses songes. Elle se sentait merveilleusement reposée. Elle s’étira et regarda autour d’elle. Le feu brûlait toujours dans la grande cheminée en marbre et une lueur blanche filtrait à travers les rideaux de coton. Elle se leva sans bruit et se dirigea vers les fenêtres. Au milieu du trajet, elle stoppa, remarquant une chose : la table avait été nettoyée, la pièce rangée. Le seau avait été vidé et remis le long du mur. Ainsi donc, des serviteurs étaient venus pendant la nuit. Elle admira leur furtivité car elle n’avait strictement rien entendu. Sur la table se trouvait un plateau garni de fruits, de morceaux de viande froide, de pain, de fromage, de vin et autres mets appétissants. Isabelle avait faim mais elle ne toucha pas au plateau, ...
    ... préférant attendre le réveil du seigneur des lieux. Elle risqua un œil derrière les rideaux. Dans le jardin, l’aube naissante créait des ombres mystérieuses. Des soldats faisaient leur ronde, l’un d’eux tenant à ses côtés un féroce chien de garde en laisse. Les premières voitures arrivèrent, venant chercher des nobles visiblement pressés. Les serviteurs s’activaient. Isabelle vit même une dame frapper un écuyer peu habile ayant fait tomber une valise en plein sur une crotte de cheval. Isabelle se retint d’exploser de rire devant la scène cocasse. Elle regardait un groupe de notables attendre leur voiture lorsqu’elle entendit du bruit en provenance du lit derrière elle. Elle se retourna et remarqua qu’il bougeait légèrement.
    
    — Tu es réveillée ? lança une voix depuis l’intérieur des rideaux.
    — Oui, mon seigneur et maître, répondit-elle.
    — Ah, parfait ! Ouvre les rideaux, d’abord ceux des fenêtres puis ceux du lit, tu veux ?
    
    Isabelle obéit. Le soleil était maintenant bien levé et la pièce s’emplit d’une lueur jaune mais pas encore chaude. Puis, elle s’approcha du lit et accrocha les rideaux en haut des colonnes. Ce faisant, elle levait les bras, exposant son corps nu au noble étendu qui n’en perdait pas une miette. Ce réveil n’était pas pour lui déplaire. Lorsque les trois rideaux furent attachés, il lança :
    
    — Apporte le plateau de nourriture sur le lit.
    
    Elle obéit avec difficulté car il était lourd mais parvint à le poser sans casse.
    
    — Maintenant, viens là, dit-il en ...
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