1. Les Parques 4/8


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, uniforme, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, policier, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... débarrasse à peine de sa chemise, elle est déjà nue devant lui, exposant son arrogante poitrine et ses tétons déjà érigés, sa petite motte recouverte de longs et fins poils soyeux qui dessinent une délicate plume d’oiseau sur son pubis. Il n’a pas le temps d’en voir plus, sa maîtresse déchaînée s’est collée contre lui, plaquant sa bouche sur un de ses tétons qu’elle suce, caresse, cajole de sa langue experte. Elle est déchaînée, gourmande et ouvre sans tarder la fermeture de sa braguette où plongent ses doigts impatients. Alors qu’elle a déjà attrapé l’objet de sa convoitise, elle abandonne le téton et lève vers lui un visage radieux.
    
    — Il a pas mis de slip le petit salaud ! Oh, tu sais que j’aime ça !
    
    Jules fait sauter le bouton de son pantalon qui lui coule aux chevilles, mais il n’a pas le temps de s’en défaire, une bouche déjà emprisonne sa queue, une langue affole son gland. À genoux, Bérénice pompe le manche avec frénésie, elle suce, lèche, embrasse, mordille, engloutit la bite, ses doigts s’y agrippent, l’étranglent, la paluche tant et tant que le pauvre garçon s’affole, craignant de ne pouvoir résister longtemps à un pareil traitement. Il tente de se dégager, mais la bougresse l’attrape par les fesses, le bloque encore un moment pour profiter encore de l’insolent braquemart. Quand elle le libère enfin, c’est pour lui prendre la main et l’entraîner vers la cuisine.
    
    — Jules, tout à l’heure, tu feras de moi ce que tu voudras, mais là, maintenant, je veux que ...
    ... tu me baises, que tu me défonces ! Je suis ta putain qui ne veut qu’une chose, ta queue dans ma chatte, je veux que tu me démontes, que tu m’exploses, me retournes et m’expédies au ciel, sans penser à toi. Juste à moi, à ma chatte affamée !
    
    Bérénice grimpe sur la table, les fesses au bord du plateau, les cuisses écartelées, ses doigts écartant ses lèvres pour bien ouvrir sa grotte incendiée.
    
    Sidéré par cette fougue et cette supplique impérieuse, Jules s’exécute avec empressement. Il jubile en sentant son amie tressaillir d’aise à peine la bite engagée, frémir à nouveau lorsque le gland franchit la porte, et encore lorsqu’il s’enfonce brutalement jusqu’au fond de la caverne. Il sent bien qu’elle ne sera pas longue à décoller, il se retire pour mieux s’enfoncer encore, jusqu’à la garde, jusqu’à la butée de l’antre brûlant. À chaque va-et-vient, il lit dans son regard les vagues montantes qui entraînent sa chérie vers l’extase :
    
    — Ah, tu veux te faire baiser comme une chienne, salope ? Tiens, prends ça, prends ça encore !
    
    Il le voit, il le lit dans ses yeux que ces paroles sont le coup de fouet qu’elle attendait, le coup de pouce aux coups de queue qui l’expédiera vers l’azur.
    
    — Oh, oui, oui, halète-t-elle, je suis ta… ta pute, je suis… une sa… une sa… une sa… lope ! Oui ! OUI ! OUI ! hurle-t-elle déjà, incapable de se contenir plus longtemps !
    
    Avec un bonheur indicible, Jules assiste à l’orgasme de sa chérie, cette transe magnifique qui illumine son visage, ...