Point de vue
Datte: 07/06/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
fdomine,
entreseins,
pénétratio,
Auteur: Bastian, Source: Revebebe
... le passage, sans oser me regarder ni rien me dire, les mains toujours encombrées par son plateau. En passant devant elle, je ne peux m’empêcher de jeter un dernier coup d’œil vers son décolleté, et ce faisant, je percute le plateau qu’elle tenait au niveau de la taille.
L’une des tasses se renverse, aspergeant mon pantalon de café au niveau des cuisses. La totale. Je me confonds en excuses, Carole fait de même et file chercher une serviette dans la cuisine. Pour éviter que le café sur mon pantalon ruisselle jusque son tapis, je m’assois sur le bord de son canapé. Lorsqu’elle revient, je suis en train d’essayer de limiter les dégâts avec un mouchoir en papier qui traînait dans ma poche. Souhaitant m’aider, la voilà qui commence à tamponner à son tour mon pantalon avec sa serviette !
Pire, pour ne pas se casser le dos, elle s’agenouille devant moi ! Je reste pétrifié : je suis assis sur le canapé d’une quasi-inconnue, elle-même à genoux devant moi, en train de me frotter les cuisses avec une serviette. Ladite inconnue porte en une nuisette on ne peut plus sexy, et est dotée de la paire de seins la plus extraordinaire que j’ai jamais vue de toute mon existence. Réalise-t-elle le côté scabreux de cette situation ? Je pense que oui, car je la vois se figer à son tour, et lever les yeux vers moi, ses pommettes ayant viré à l’écarlate. Je m’apprête à dire quelque chose, n’importe quoi, la remercier, lui dire que ça ira, n’importe quoi pour nous sortir de cette situation. ...
... Mais alors qu’elle me fixe dans les yeux, je sens les miens irrésistiblement descendre, comme aimantés par son décolleté, totalement offert juste un peu plus bas, et sur lequel j’ai une vue en plongée irrésistible. De plus, comme en est train de plus ou moins frotter mon pantalon, je vois ses deux gros seins balancer doucement l’un contre l’autre d’une manière hypnotique.
J’ai l’impression que les yeux me sortent des orbites en même temps que les mots se coincent dans le fond de ma gorge. Jusque-là, j’ai plus ou moins réussi à être maître de moi, mais cette fois c’en est trop : je suis pris d’une érection brutale, et en un instant, mon sexe est dur comme jamais. Je suis mortifié, Carole a encore la main apposée sur ma cuisse, elle va forcément s’en apercevoir. Et cela ne manque pas : ses yeux s’écarquillent, puis je la vois sourire, d’un sourire amusé plutôt que moqueur. Elle me dit alors quelque chose, mais mes yeux sont redescendus sur sa fabuleuse poitrine. Impossible de me concentrer, et je ne sais pas du tout ce qu’elle me dit ni ce que je réponds, mais en tout cas, Carole est carrément prise d’un fou rire. Cela a le mérite de me sortir de ma transe, et je me sens totalement ridicule. Carole finit par se calmer, et les larmes aux yeux, me rassure gentiment :
— Je suis vraiment désolée, c’était un fou rire nerveux. Je me sentais tellement ridicule, là, devant toi… Je ne sais pas ce qui m’a pris pour la nuisette. Je viens juste de l’acheter et… qu’importe, c’était ...