1. Point de vue


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, fdomine, entreseins, pénétratio, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... totalement déplacé, je suis vraiment désolée.
    
    Son discours et son attitude me soulagent, car je n’en menais par large, tenaillé à la fois par la honte et par l’excitation. Du coup, je me sens obligé de la rassurer à mon tour, en lui disant que ce n’est rien et que ne regrette vraiment pas ma soirée. Emporté par mon élan, je lui avoue même que je la trouve très jolie et attirante « pour son âge » (je regrette immédiatement cette précision superflue). Carole n’a pas l’air de s’en offusquer et me demande d’un air amusé :
    
    — Vraiment ? Tu me trouves jolie ?
    
    Je lui réponds que oui et, me sentant obligé d’en dire plus, je lui assure qu’elle aurait tort d’être gênée à cause de sa nuisette, car celle-ci lui allait à ravir et la mettait bien en valeur. Tout en prononçant ces mots, je me répète en boucle tel un mantra :« Regarde-la dans les yeux, regarde-la dans les yeux, regarde-la dans les yeux… » tout en luttant pour ne pas abaisser mon regard. Elle rit de bon cœur, puis se relève lentement. Je suis toujours assis sur le canapé. Elle pose alors ses deux mains sur mes genoux, puis se penche vers moi et vient planter ses yeux droit dans les miens.
    
    — Si ça ne te dérange pas, j’aurais un dernier service à te demander, me susurre-t-elle à l’oreille.
    
    Son parfum m’envahit, je ne réponds rien, mon sexe est plus dur que jamais, mais j’essaye de garder la tête froide, et de soutenir son regard.
    
    — Mais il est tard, je ne voudrais pas te faire rater le dernier métro, ...
    ... ajoute-t-elle en minaudant en me plantant son voluptueux décolleté juste devant les yeux.
    
    Carole a assurément retrouvé de la prestance, mes compliments sur son physique lui ont sans doute fait plaisir. Quant à moi, je finis par céder (ce qui m’excite encore davantage) : je bredouille que oui, bien sûr, tout ce qu’elle veut… Et j’abaisse mes yeux sur les deux énormes seins juste devant moi, pour me perdre dans les méandres de leur chair.
    
    Elle poursuit :
    
    — Et bien voilà, je suis vraiment très excitée, ma chatte est toute trempée, et j’aurais vraiment besoin du sexe bien dur d’un homme pour me soulager. Tu penses que tu peux faire quoique chose ?
    
    À ces mots, doucement susurrés à mon oreille, je deviens fou. Je perds toute retenue, j’abaisse sa nuisette pour faire sortir ses deux gros seins, et je me jette littéralement dessus, avec mes mains, ma bouche, mon visage entier. Je malaxe, je pétris, je lèche, je tète… tout en râlant de plaisir. J’entends tout juste Carole me souffler en deux soupirs :
    
    — Oh oui… T’en peux plus de mes seins hein ? Ils te plaisent, espèce de petit cochon…
    
    Tout en lui bouffant la poitrine, je lui réponds que oui, ils me plaisent, je les adore. Ils sont énormes, presque aussi gros que ma propre tête, tout en étant étonnamment fermes, et surtout si lourds…
    
    Carole me laisse jouer quelques minutes, puis saisit l’une de mes mains, qu’elle vient glisser sous sa nuisette pour l’amener sur sa culotte. Elle est effectivement trempée.
    
    — Tu sais qu’une ...
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