1. Point de vue


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, fdomine, entreseins, pénétratio, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... ça qu’il y a encore quelques petits travaux à faire, m’explique-t-elle. Je lui demande où est la salle de bain. Semblant tout à coup se rappeler pourquoi je suis là (« ah oui, l’ampoule ! »), elle se dirige vers une sorte de buffet, en ouvre une porte et s’agenouille pour fouiller dans une espèce de capharnaüm. Involontairement, mes yeux s’abaissent sur son fessier. J’ai toujours préféré les filles menues, et je n’ai jamais eu d’attirance particulière pour les rondes. Mais je me surprends moi-même en m’entendant me dire dans ma tête que Carole me ferait presque changer d’avis. Je réalise que la femme que je trouvais forte sur ses photos de profil, ben que ronde, est en fait superbement proportionnée : il y a sa poitrine imposante, bien sûr, mais il y aussi ces hanches larges, qui mettent en valeur un fessier rebondi, joliment moulé dans cette jupe en cuir. Je sens que le sang commence à me monter à la tête lorsque Carole se relève et me tend une ampoule. Je m’en saisis prestement avant de filer dans la salle de bain. J’ai tout juste le temps d’entendre Carole me dire qu’elle va préparer le café.
    
    Effectivement, il n’y a pas d’ampoule au plafonnier. Je grimpe sur une chaise qui traîne là, et visse rapidement l’ampoule que Carole m’a donnée, en prenant soin de ne pas me casser la figure. Puis je remets la chaise à sa place, et je retourne dans le séjour. Carole n’y est pas, et ne semble pas non plus être dans la petite cuisine qui le jouxte. Pourtant, je vois deux capsules de ...
    ... cafés posées sur le plan de travail et encore brûlantes. Intrigué, je retourne dans le séjour, quand je vois tout à coup surgir Carole de sa chambre, de l’autre côté par rapport à la cuisine, portant un plateau avec deux tasses de café. Enfin il me semble, car tout ce que je peux voir actuellement, c’est qu’elle n’est vêtue que d’une simple nuisette, on ne peut plus moulante et semi-transparente. Involontairement, j’écarquille les yeux, et je sens ma bouche s’ouvrir imperceptiblement, en même temps que le rouge me monte aux joues. Carole arrive devant moi, elle ne dit rien. Elle a un corps magnifique, j’en ai le souffle coupé. Pire, je n’arrive pas à détacher les yeux de son opulente poitrine : ses seins sont vraiment énormes, je n’arriverais même pas à en saisir un avec une main. Du coup, impossible de m’ôter cette image de la tête, et c’est au prix d’un immense effort de concentration que j’arrive à relever les yeux et à vaguement bafouiller qu’il faut que je parle, parce que l’heure, le dernier métro…
    
    — Euh, oui, bien sûr, je comprends… me répond Carole, à ma grande surprise.
    
    Je me rends compte qu’elle est aussi troublée que moi, en tout cas son joli visage d’albâtre est teinté de rouge. Elle me dit qu’elle s’excuse, qu’elle est désolée. Je reste interdit quelques secondes, j’ai l’impression que mon cerveau réfléchit au ralenti. Je ne sais pas quoi dire, et je me dirige finalement comme vers la sortie, un peu comme un automate, alors qu’elle s’écarte pour me laisser ...
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