Point de vue
Datte: 07/06/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
fdomine,
entreseins,
pénétratio,
Auteur: Bastian, Source: Revebebe
... voix claire et forte en se levant d’un coup.
Je suis toujours à genoux, j’ai son énorme queue juste devant le visage. Je lève les yeux vers lui, et en minaudant, je lui demande comment cela se fait ?
— Parce que je suis un porc ! Et toi, tu es une grosse salope ! me hurle-t-il en enfonçant sa queue dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge.
J’ai un haut-le-cœur, mais en même temps, je suis excitée comme jamais. Je m’étouffe presque alors qu’il m’impose un va-et-vient brutal dans la bouche, tout en me tenant par les cheveux. J’ai obtenu ce que je voulais, il a carrément perdu toute retenue et toute pudeur, et me tiens des propos on ne peut plus explicites :
— Oui, tu m’as bien fait bander avec tes gros seins ! Toute la soirée, j’ai pensé à te sauter !
D’un coup, il retire sa queue de ma bouche, et me regarde avec des yeux de fous. J’ai de la bave qui coule le long de ma bouche, je suis toute décoiffée, mais que c’est bon ! Je lui dis que je suis sa chose, sa chienne. Il m’interrompt :
— Oui, et maintenant, je vais te prendre comme une chienne !
Joignant le geste à la parole, il me soulève et me retourne littéralement sur la table basse, avant d’enfoncer sa queue dans ma chatte. Je ne peux retenir un cri de plaisir lorsque je sens son bassin venir percuter mes fesses. Jamais je n’ai été prise comme cela, avec tant de fougue et de violence. Il continue à vociférer son désir pour moi, je l’encourage en lui disant que je suis une salope, une grosse vache, ...
... tout ce qu’il veut pourvu qu’il me défonce… Très vite, je n’entends plus rien, et je me contente de gémir et d’ahaner comme la chienne que je suis devenue, plus rien ne compte à part cette énorme bite qui semble vouloir me traverser de part en part à chaque nouveau coup de reins.
Je finis par jouir en hurlant de plaisir, alors que je sens le sexe de Julien vibrer et exploser en moi. Dans les soubresauts de son éjaculation, il vient s’affaler sur moi. Nous restons plusieurs minutes ainsi, sans dire un mot, lui sans doute fortement troublé par ce qu’il vient de vivre, moi à récupérer et à reprendre mon souffle. Il finit par se relever doucement. Je me retourne, et je le regarde en souriant, afin de dissiper tout malaise. Il a manifestement repris ses esprits, et semble très gêné par ce qu’il vient de se passer. Bon sang, il est vraiment trop chou, j’aurais presque envie de lui ressauter dessus, là, toute de suite ! Je le rassure, déjà en lui disant à quel point cela avait été bon ; et surtout en lui disant que j’avais largement exagéré ce que je lui avais dit avant qu’il me saute dessus : je voulais surtout qu’il se lâche complètement, et ça m’avait semblé être un bon moyen…
— Oh, ça oui ! me dit-il dans un grand éclat de rire, alors que je le prends par le bras et que nous allons nous coucher.
D’ailleurs, c’est lui qui me sautera dessus au réveil pour remettre ça, et je le laisserai faire avec plaisir, cette fois-ci comme les nombreuses fois qui arriveront par la suite…