1. Point de vue


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, fdomine, entreseins, pénétratio, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... que tous les Parisiens ont déjà utilisée au moins une fois dans leur vie). Lorsqu’elle entend ça, elle prend un petit air moqueur en me faisant remarquer qu’il est à peine 23 heures, et ajoute tout sourire :
    
    — Tu es bien sûr que tu n’as que vingt et un ans ?
    
    Un peu vexé, je lui rétorque que je n’aime pas rentrer chez moi à une heure trop avancée, et que j’ai plein de choses prévues le lendemain.
    
    — Ça va, je te charrie ! répond-elle dans un sourire. Par contre, si tu n’es pas à cinq minutes, ça te dérangerait de faire un petit détour ? Je n’aime pas rentrer chez moi seule, et je serais plus rassurée avec un homme à mes côtés.
    
    Je lui dis que bien sûr, il n’y a pas de problème. Dans la foulée, elle m’attrape le bras, et nous voilà partis bras dessus bras dessous, Carole m’assurant qu’il y en a pour dix minutes à peine. Nous continuons à parler de tout et de rien, quand tout à coup je réalise que Carole enserre mon bras et est complètement collée à moi. Au point que mon bras, au gré de notre marche nocturne, effleure régulièrement son sein droit. Voire même s’y frotte complètement. Sa fermeté et sa lourdeur me demandent un petit effort de concentration pour continuer à discuter avec Carole, qui ne se rend compte de rien. Je suis à la fois déçu et un peu soulagé lorsqu’elle me lâche le bras en me disant que nous sommes arrivés. Elle me remercie de l’avoir raccompagnée, et me propose de monter chez elle pour prendre un café. Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, ...
    ... elle ajoute en me regardant d’un air malicieux :
    
    — J’ai regardé ma montre, je te rassure, il n’est même pas 23 h 30… À moins que ça déjà trop tard pour papi ?
    
    Ah la garce, elle m’énerve ! Je m’apprête à protester, mais elle poursuit dans un rire :
    
    — Promis, juste un café et te je libère.
    
    Devant mon air peu emballé, elle ajoute en minaudant :
    
    — Bon, j’avoue, j’ai un autre service à te demander… J’ai une ampoule à changer dans ma salle de bain, et le voisin à qui j’emprunte son escabeau d’habitude est en vacances. Du coup, j’aurais bien besoin d’un grand garçon comme toi. Parce que moi… Comme pour illustrer ses propos, elle tend les bras au-dessus de la tête tout en se mettant sur la pointe des pieds, et essaye d’attraper une ampoule imaginaire. Est-ce le souvenir moelleux de son sein sur mon bras ou bien la vue furtive de son chemisier qui se tend sur sa poitrine lorsqu’elle lève les bras au ciel qui me persuade inconsciemment ? Toujours est-il que je me dis que je ne suis pas à cinq minutes après tout, et que j’ai déjà fait le plus long avec ce détour pour passer par chez elle. Nous montons donc, et sans que le sache encore (vraiment ?), le piège se referme sur moi.
    
    Carole me fait entrer dans un deux-pièces coquet, décoré avec goût. Elle m’explique qu’elle vient juste de l’acquérir, suite à son divorce : elle souhaitait se rapprocher de Paris et ne voulait pas rester dans la maison de banlieue où elle avait vécu pendant plus de dix ans avec son mari. C’est pour ...
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