1. Point de vue


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, fdomine, entreseins, pénétratio, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... clients autour, tout en espérant ne croiser aucune connaissance, tant la situation me semble bizarre.
    
    Cela se ressent d’ailleurs, car c’est Carole qui fait toute la conversation. La plupart du temps, je me contente d’acquiescer, sans relancer la discussion. En fait, il me tarde que ce rendez-vous se termine, et je ne cherche pas forcément à le cacher. D’autant plus que nous avons remplacé le café par un repas, Carole ayant dit qu’elle avait une petite faim. Je me maudis de ne pas avoir eu le courage de refuser, alors que nous arrivons péniblement au dessert. Je lui dis que je ne prends rien, elle insiste pour jeter un œil à la carte des desserts et jette son dévolu sur une tarte aux fraises en m’affirmant qu’elles sont délicieuses, puis me demande si je suis sûr que je ne veux rien prendre et me glisse le menu sur le table en me conseillant absolument je ne sais quel dessert.
    
    Je m’apprête à refuser poliment quand je réalise tout à coup que le dernier bouton de son chemisier est défait. Comme elle est penchée sur la carte qu’elle me tend, elle m’offre sans s’en rendre compte une vue absolument affolante sur une bonne partie de sa poitrine. Je réalise que le « pulpeuse » de son profil n’est absolument pas usurpé : j’ai devant les yeux la poitrine la plus grosse, la plus volumineuse et la plus lourde que j’aie jamais vue de toute ma vie, en vrai en tout cas… Je ne suis pas un grand spécialiste, mais ça me semble plus gros et plus profond que tout ce que j’ai pu voir ...
    ... jusqu’à présent, sans doute du bonnet E au moins. D’ailleurs, d’où sort cette paire de seins fantasmagorique ? Cela fait plus d’une heure que je suis en face d’elle et je ne me suis douté de rien. Idem sur ses photos de profils, où je me souviens surtout d’avoir vu une femme ronde, voire forte.
    
    En attendant, il faut que je me reprenne si je ne veux pas que Carole me voie en train de loucher dans son décolleté lorsqu’elle relèvera les yeux de la carte des desserts, ce qui serait assez humiliant pour le coup. Je me plonge donc à mon tour dans le menu pour finalement commander ce qu’elle me conseille (une crème brûlée, je crois). Et je m’empresse d’enchaîner sur autre chose, en faisant en sorte que mon regard de n’abaisse pas plus qu’il ne le devrait. Ce n’est pas bien difficile : lorsque Carole se tient droite, du fait de sa chemise ample, on ne devine absolument pas son énorme paire. En tout cas, j’évite à tout prix de regarder, et c’est moi qui, à présent, alimente la conversation, histoire de penser à autre chose.
    
    La fin du repas arrive. Je n’ai pas eu la chance d’en voir davantage, à tel point que je me demande si je n’ai pas rêvé. Une fois sortis, Carole me dit qu’elle a passé un bon moment, que je suis un garçon fort sympathique, et qu’il est étonnant que je n’aie pas de petite amie. Nous échangeons encore quelques banalités devant le restaurant, puis je le lui dis qu’il faudrait que je rentre chez moi, je ne voudrais pas rater le dernier métro (excuse toujours pratique ...
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