Point de vue
Datte: 07/06/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
fdomine,
entreseins,
pénétratio,
Auteur: Bastian, Source: Revebebe
... séduire ? Peut-être. Mais je ne vois qu’une femme de quarante-quatre ans qui s’est mise à moitié nue pour servir le café à un jeune homme de plus de vingt ans de moins que lui qu’elle a rencontré il y a deux heures à peine. Cela me fait l’effet d’une douche glacée. En un instant, Carole la reine cougar laisse place à Carole la maman. Au pire des moments. Car mon regard ne décolle du miroir que pour tomber sur Julien, qui vient de sortir de la salle de bain. Je pense qu’il voulait dire quelque chose, mais le pauvre s’est figé sur place dès qu’il m’a vue. La bouche béante, il a les yeux littéralement rivés sur ma poitrine, que je ne peux même pas essayer de cacher vu que j’ai toujours le plateau et les tasses de café dans les mains. Cette situation m’aurait rendue folle d’excitation il y a cinq minutes à peine, mais là, je ressens juste un immense malaise, et j’ai envie de disparaître entre deux coussins de mon divan. C’est Julien qui rompt le silence, non sans difficultés :
— Euh… Je pense que… Je euh… Il faut que j’y aille, balbutie-t-il.
Je ne suis pas mieux lotie : je parviens à peine à bredouiller que, bien sûr, je comprends, que je suis navrée… Après un instant suspendu qui me semble interminable, Julien semble revenir à lui et se précipite vers la sortie. Un peu trop vite, d’ailleurs : je n’ai pas le temps de m’écarter, et le voilà qui percute le plateau toujours dans mes mains. L’une des deux tasses se renverse, arrosant copieusement le bas de la chemise et le ...
... haut du pantalon de Julien. Je lui dis que je suis vraiment désolée, il fait de même, je ne sais plus où me mettre. Je me précipite dans la cuisine pour chercher un torchon, de l’essuie-tout, n’importe quoi. Quand je reviens, Julien s’est assis sur un bord du divan pour éviter que tout le café ne ruisselle par terre, et s’essuie comme il peut avec un mouchoir qu’il a trouvé je ne sais où.
Sans réfléchir, je vais l’aider. Et pour cela, je ne trouve rien de mieux à faire que de m’agenouiller entre ses (grandes) jambes pour venir lui essayer le haut des cuisses avec mon torchon… Je fais cela machinalement (je le jure !), et ce n’est que lorsque je vois que Julien a arrêté de s’essuyer et ne bouge plus que je lève les yeux vers lui. Il a le visage cramoisi et me regarde d’un air hébété. Ou plutôt il regarde mes seins, mais je ne peux pas lui en vouloir étant donnée la vue affolante que je lui offre. Vue d’autant plus provocante que mes deux seins ballottent doucement l’un contre l’autre, vu que je suis toujours en train d’essuyer Julien. Je me fige à mon tour, rouge de honte. Mais un peu trop tard : je sens la verge de Julien durcir d’un coup dans son pantalon. Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux vers son entrejambe, où je constate qu’en effet, c’est très, très gonflé. Je ne sais pas ce qui me prend (je voulais sans doute rompre ce silence insupportable), mais je ne trouve rien d’autre à lui dire que je suis rassurée parce qu’il « n’a pas l’air de trop m’en vouloir ». Mais ...