1. Point de vue


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, fdomine, entreseins, pénétratio, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... quelle conne ! Le pauvre est sur le point de tomber dans les pommes et je luis sors un truc pareil… Mais le pire est à venir, lorsque j’entends Julien me répondre :
    
    — Euh oui, oui… me dit-il dans un soupir, les yeux toujours fixés sur mes seins.
    
    C’en est trop pour mes nerfs : je suis prise d’un irrépressible fou rire. C’est comme si mon cerveau voulait se vider de toute la gêne horrible qui me pèse depuis quelques minutes : je ris, je ris, mais c’est en même temps, je m’en veux terriblement, car je me rends bien compte de ce que doit ressentir le pauvre Julien. Et tout en m’étouffant à moitié, j’essaye de lui faire comprendre en bougeant la tête et les mains que ce n’est pas contre lui. Je réussis finalement à reprendre mon souffle et, les larmes aux yeux, je lui dis que je suis vraiment désolée, qu’il n’y est absolument pour rien et que c’est l’absurdité de cette situation qui m’a fait exploser de rire. Surtout, je m’excuse pour ma tenue, totalement inappropriée : je lui explique que je ne sais pas ce qui m’a prise (alors qu’en fait si, c’est juste que j’ai été incapable d’assumer jusqu’au bout…).
    
    Et là, miracle : Julien n’est pas du tout vexé (alors qu’il y aurait de quoi). Mieux, il me dit que ce n’est rien et me rassure gentiment, ajoutant même qu’il a passé une très bonne soirée. Et surtout, il ajoute :
    
    — Et puis, j’avoue… Je vous trouve vraiment jolie et attirante.
    
    Bon, je crois qu’il a aussi ajouté « pour votre âge », mais son petit sourire en coin son ...
    ... ton « séducteur timide » suffit pour me le faire oublier, et surtout pour me troubler les sens jusqu’au fond de la culotte… Du coup, je feins l’étonnement (à moitié seulement), comme pour l’inviter à continuer.
    
    — Oui, oui, je vous assure poursuit-il un peu maladroitement (ce qui me fait craquer encore plus). Et puis la nuisette… Elle vous va vraiment bien.
    
    Je sens qu’il hésite un peu avant d’ajouter :
    
    — Et puis elle… elle vous met bien en valeur.
    
    Je ne peux m’empêcher de rire en voyant que tout en me disant ça, il lutte comme un fou pour ne pas regarder mon décolleté. Mais même un peu maladroits, ses compliments me vont droit au cœur (et aussi un peu plus pas), et m’ont rendu mon humeur joueuse. Tout en le regardant droit dans les yeux, je me relève doucement et je me penche vers lui. Je lui dis que je suis désolée, que je ne voudrais surtout pas abuser, mais que j’ai un tout dernier service à lui demander. Avant qu’il ne me réponde, je pose mes mains sur ses genoux et je lui plante mon décolleté juste sous le nez, tout en lui disant que je comprendrais qu’il refuse, car il est déjà tard, et je ne voudrais pas lui faire rater le dernier métro. Je vois qu’il essaie de résister, au moins une poignée de secondes. Puis il finit par plonger ses yeux dans mes seins en lâchant un réjouissant :
    
    — Oui, bien sûr… Tout ce que tu veux…
    
    Je n’en peux plus. Je remonte doucement mes mains vers son entrejambe. Tout semble très dur à nouveau. Je finis par craquer à mon tour et ...
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