Point de vue
Datte: 07/06/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
fdomine,
entreseins,
pénétratio,
Auteur: Bastian, Source: Revebebe
... : le cœur battant la chamade, le teint écarlate et le regard halluciné. Heureusement, il ne remarque rien. Comment le faire monter chez moi à présent ? Le garçon est timide, et je ne le vois pas s’inviter chez moi de lui-même (même si je n’attends que ça). Malgré l’excitation (ou peut-être grâce à elle), je trouve l’inspiration : l’ampoule de ma salle de bain qui a claqué ce matin ! Il me faut absolument un grand gaillard comme lui pour m’aider à la changer, à défaut d’un escabeau (que j’ai dans un placard, au demeurant). Qu’importe, je lui propose un dernier café, et dans la foulée, je lui parle de mon ampoule à changer. Au passage, j’en profite pour le taquiner encore une fois à propos de l’heure tardive (j’ai pu voir que ça le faisait réagir). Et pour mettre toutes les chances de mon côté, alors que je lui expose mon problème d’éclairage, je tente de dévisser maladroitement une ampoule imaginaire, les bras au-dessus la tête le buste en avant. Manœuvre sans doute peu subtile, mais efficace, puisqu’il accepte volontiers de me rendre ce petit service. Évidemment !
J’ai lu il y a peu sur un blog (oui, quand je suis frustrée, j’aime perdre mon temps à lire des citations qui se rapportent au sexe !) cette citation attribuée à Gorges Clemenceau : « le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte l’escalier ». Eh bien, c’est totalement faux : le plus long, le plus interminable, le plus frustrant, oui ! Quand on arrive (enfin !) devant chez moi, ma culotte est ...
... littéralement en train de se liquéfier ! Et j’ai l’impression que mes yeux sont comme deux phares qui lui feraient des appels incessants : « baise-moi, allez, baise-moi ! » Sitôt entrés, je lui donne une ampoule et l’envoie dans la salle de bains, prétextant devoir préparer le café. Ce que je fais d’ailleurs, vite et bien : deux capsules dans la machine, et hop. Et maintenant ? Dans quelques minutes, il va revenir. Je déboutonne un, puis deux boutons de mon chemisier. Suffisant ? Sans doute. Mais mon excitation me fait perdre la raison : d’un coup passe devant mes yeux la nuisette super sexy que je me suis achetée juste après mon divorce (j’en avais besoin et envie, ne me jugez pas !) : courte et vaporeuse, en dentelle noire avec un décolleté on ne peut plus provocant, renforcé par un push-up. Je pose les deux tasses de café sur un plateau et je me précipite dans ma chambre en embarquant le tout. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai fait tomber le chemisier et la jupe et j’enfile la nuisette. J’en profite pour changer de culotte (celle que je porte est trempée). Le piège est fermé, et je sors de la chambre avec l’assurance d’une reine, qui doit contraster avec les cafés que je m’apprête à servir.
Et puis le drame. Oh, pas un accident bête, une chute idiote, un café renversé. Juste une image, renvoyée par un miroir accroché au mur alors que je dépose le plateau sur la table basse. Celle d’une pin-up plantureuse dont les apprêts traduisent avec évidence l’intention de ...