Point de vue
Datte: 07/06/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
fdomine,
entreseins,
pénétratio,
Auteur: Bastian, Source: Revebebe
... avant… L’effet est immédiat : je vois le pauvre Julien se perdre dans mon décolleté (pour le coup assez provocant). Ses yeux s’écarquillent, sa bouche s’ouvre même imperceptiblement. Il doit bien rester bloqué une seconde entière sur ma poitrine, avant de se reprendre et de plonger dans le menu que je lui tends. Je ne peux retenir un léger sourire, même si au fond de moi, je m’en veux un peu. Mais qu’importe, le résultat est là : Julien a commandé une crème brûlée, et force est de constater qu’il est devenu bien plus loquace. Je le soupçonne même de lutter pour continuer à me regarder dans les yeux, heureusement, lorsque je me tiens droite, même avec mon bouton en moins, il n’y a rien de scandaleux. Au final, la fin du repas se passe plutôt agréablement, au point que je regrette presque mon manque de courage vestimentaire : le jeune homme blasé est devenu un vrai gentleman, bavard, intéressé par ce que je fais… Ah le pouvoir magique du décolleté ! Il propose même de m’inviter, c’est dire ! (ce que je refuse, toutefois).
Nous finissons par sortir du bistrot, cette fois, je sens clairement que c’est lui qui cherche à prolonger notre rendez-vous. Il me parle bien du métro qu’il doit prendre, mais sans montrer aucune réelle volonté de départ, j’ai plus l’impression que c’est pour se donner un genre. Du coup, j’en profite pour le taquiner sur son âge, ce qu’il apprécie moyennement. Allez, je rattrape le coup en lui flattant son ego : je lui demande de me raccompagner chez moi, ...
... prétextant ne pas vouloir rentrer seule. En gentleman, il accepte.
Je profite de l’aubaine pour m’accrocher à son bras (je cherchais depuis longtemps un premier contact tactile), et nous partons tous les deux, comme un petit couple. Cela me fait un bien fou, et je me rends compte à quel point j’avais besoin de sentir la présence, le contact d’un homme. D’ailleurs, cela fait à peine cinq minutes que je m’agrippe à lui et j’en mouille déjà ma culotte, c’est fou… J’essaye de me reprendre et de ne pas lui sauter dessus, mais je réalise tout à coup que je sens son coude frotter légèrement contre mes côtes lorsque nous marchons. Je me dis que je n’ai qu’à légèrement me tourner vers lui pour amener son bras à effleurer ma poitrine.« Carole, Carole, est-ce bien raisonnable ? » me dis-je dans un soliloque. « OUUIII ! » me hurle ma libido à travers tout mon corps. Tout en continuant de parler, je me tourne imperceptiblement vers lui, de façon à ce que son bras vienne au contact de mon sein droit. Encore une fois, effet immédiat : je sens qu’il a soudain bien du mal à articuler ses phrases et à marcher droit. De mon côté, ma température corporelle augmente encore de quelques degrés, en même temps que mon cerveau commence à divaguer en imaginant sa virilité toute raidie par ma faute…
Je vois me faire violence pour ne pas lui sauter dessus lorsque nous arrivons devant chez moi. Je me dis que je dois avoir l’air d’une folle, tellement j’ai l’impression que mon corps implose de désir ...