1. A bas les préjugés !


    Datte: 02/03/2018, Catégories: fh, hh, fhh, cadeau, cocus, voisins, amour, Oral 69, pénétratio, hsodo, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... comprends. Des mains écartent mes cuisses. Un corps se glisse entre elles. Une main soulève mes couilles. Qui, de Céline ou de son complice ? Céline qui semble se figer en se redressant. La coquine laisse un peu de place, ou bien veut-elle assister au spectacle qui se prépare ? Mes aveux ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd, et Xavier n’a rien d’un sourd !
    
    Je sens sa queue pointer mon cul. Un cul qui a été délaissé pendant tant d’années mais qui n’a pas oublié, même si son propriétaire, lui, avait oublié. Je le sens qui avance. C’est extraordinaire. Tous ces souvenirs qui se bousculent alors qu’il avance, avance et me remplit. Ma queue semble vibrer. Céline la caresse d’une main négligente. Sent-elle cette chaleur qui la gonfle, ce surcroît d’envie ?
    
    Elle est au premier rang.« Combien de femmes ont assisté à ce qu’elle voit ? Ne va-t-elle pas me mépriser après cela ? Serai-je encore son mari, un homme à part entière si je me laisse enfiler par son amant ? »
    
    — C’est beau. Je n’avais jamais vu. Allez, Xavier, prends-le : c’est pour son bien, pour une guérison complète.
    
    Xavier obéit. Il se cale au fond de mon cul avant de commencer à bouger. Même s’il n’a jamais enculé un homme, il a l’expérience des femmes, au moins de la mienne que j’ai vue cambrée comme une pute alors qu’il lui labourait le cul. Justement, la pute vient vers moi. Elle se tourne. Elle me chevauche. Elle guide mon dard dans sa fente. Elle s’assied dessus. Elle s’allonge sur moi. Elle ...
    ... tortille du cul pour mieux se prendre.
    
    — Mon amour ! Mon amour ! Tu me remplis. C’est bon. Tu m’as manqué.
    
    « Et moi donc ? » pensé-je. Mais je suis tout à mon désir retrouvé. Désir de me laisser chevaucher par une cavalière qui s’empale sur mon dard mais aussi désir de me faire enfiler avec chaque coup de reins qui me ramène vingt ans en arrière.
    
    Que demander de plus ?
    
    Chaque coup de bite de Xavier propage une onde qui se transmet à ma propre queue. Un instant, Céline reste immobile, enchâssée à fond pendant que son amant me sodomise. Un voyeur verrait un méli-mélo de corps imbriqués les uns dans les autres.
    
    Je suis la femelle de Xavier. La preuve : non seulement il m’encule sans retenue, mais comme Céline tout à l’heure il me tire les jambes au ciel, me faisant cambrer pour que mon cul se détache du lit. C’est drôlement bon de se sentir ainsi, disponible pour leur désir. Ils accélèrent. Sans vraiment se donner le mot, ils sont en cadence. Qui est le marteau ? Qui est l’enclume ? Mais moi je sais qui est entre les deux, marteau et enclume de chair. Toujours plus vite, toujours plus fort. La vodka libère de toutes les inhibitions, et le vice, la perversité, la sodomie, le triolisme deviennent des vertus.
    
    Dire que nous jouissons ensemble serait mentir, mais chacun apporte sa contribution à l’orgasme de l’autre. Sentir Xavier se vider en moi me fait libérer ma gourme dans une fente qui a déjà exprimé son plaisir.
    
    * * *
    
    Xavier n’a pas regagné son appart’ ; il est ...