A bas les préjugés !
Datte: 02/03/2018,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
cadeau,
cocus,
voisins,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... monde de ce que j’avais vécu avec Max, avec un homme. Pourtant, ni viol, ni contraintes : j’étais consentant et appréciais. Mais lorsque Max est parti, la honte a dû me submerger. À l’époque, les "tapettes" n’avaient pas bonne presse. Maintenant, ce serait vécu comme une expérience comme une autre.
Mes confidents sont parfaits. Pas une moquerie, pas de questions. Juste une parfaite écoute.
Ah si, une question ; celle de Céline, toujours aussi perspicace :
— Mais, mon chéri, pourquoi ce souvenir est revenu pour provoquer ton déblocage ?
Bonne question. Je ne sais vraiment pas. Je demanderai à mon psy ; après tout, il me coûte assez cher.
Je suis debout face au canapé. J’ai marché pendant mes aveux alors que Céline et Xavier sont restés assis sur le canapé.
— Il faut fêter cela, je dis.
— Oh oui !
Céline fait mine de se lever.
— Reste, ma chérie. Tiens compagnie à Xavier.
Le sourire qui accompagne cette remarque en déclenche d’autres de mes désormais complices.
Il y a maintenant quelques mois que je disais un peu la même chose en les laissant seuls ; que le temps passe vite ! Xavier va bientôt partir. Il va me manquer. Et j’imagine qu’à Céline aussi. Sûrement encore plus pour elle. Lorsque je reviens, ils me paraissent vraiment complices. Ils se parlaient et se taisent à mon arrivée.
— Vous complotiez ?
Je plaisante. Ils ne répondent même pas. Je nous sers. Je n’ai trouvé que de la vodka au frais, mais elle fait l’affaire. Nous ...
... trinquons.
— À ta guérison ! lance Céline, qui boit d’un coup sec.
Nous l’imitons. Xavier, qui s’empare de la bouteille, remplit les verres à nouveau, et levant le bras :
— À vous. Je ne vous oublierai jamais. Charles, tu as une femme formidable, et si je peux me permettre, une amoureuse hors pair. Céline, il n’y a pas beaucoup de maris capables de faire ce qu’il a fait.
— Merci, je sais… dit ma femme en embrassant son amant sur la bouche.
— Pour ce qui est du sexe, je peux te renvoyer le compliment.
— Hé, je suis là… dis-je en riant. Buvons !
Le deuxième verre secoue en passant. J’en ressers un troisième. Je le brandis comme un triomphe.
— À Max.
Je vois l’étonnement dans les yeux des amants.
— Oui, Max qui m’a apporté tant de plaisir. Ce n’est pas de sa faute si je n’ai pas su gérer son départ ; mais il m’a permis de te connaître, Xavier. Mais je dois remercier aussi celui ou celle qui a inondé ton appart’ : il nous a donné l’occasion de nous retrouver tous les trois. Nous allons te regretter ; tu vas laisser un grand vite. Buvons !
Waouh, ça fouette ! Céline a les yeux remplis de larmes. L’émotion, ou l’alcool ? Quelle importance…
— Que de paroles… Des actes ! Des actes ! lance mon épouse chez qui je vois déjà l’effet de l’alcool.
Elle se lève, me prend par la main et m’entraîne, suivis par Xavier, dans notre chambre. Aussitôt elle se colle à moi, m’embrasse, me caresse. Elle me pousse, et je sens le bord du lit. Je me laisse tomber. Elle m’accompagne. ...