A bas les préjugés !
Datte: 02/03/2018,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
cadeau,
cocus,
voisins,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... mais il lui suffisait de siffler et j’accourais. Pas de violence, pas de menaces : il me tenait par le plaisir. Après le sport – mais surtout dans ma chambre – j’étais une Juliette que Roméo venait rejoindre. Sauf que j’habitais au rez-de-chaussée et que la Juliette se faisait enculer ou remplir la gorge.
Max était à peine plus âgé mais semblait tout connaître de la vie. Il savait la puissance de la suggestion, de l’excitation apportée par la peur d’être surpris. Alors qu’il s’activait dans mon cul et qu’il me branlait afin que nous jouissions de concert, je craignais l’arrivée impromptue de mon père ou ma mère, inquiet de ce qu’ils entendraient derrière la porte de leur fils. Heureusement, leur chambre était éloignée. Quelle honte cela aurait été de me faire surprendre ainsi, enculé ou la gorge pleine de cette bite que je devais pomper jusqu’à ce qu’elle crache son jus !
D’ailleurs j’en ai encore le goût si caractéristique en bouche. Ce goût de sperme. Un peu comme lorsque Céline m’embrasse après m’avoir pompé et vidé. J’en retrouve même la texture, la fluidité. C’est comme si je revivais ce moment magique où je lui extirpais son plaisir. Le foutre qui jaillit, qu’il faut canaliser pour attendre les autres giclées. Je le sens me remplir la gorge. Ah, la puissance des souvenirs… Pourtant cela paraît si réel, si réel, même le soupir qui accompagne…
J’ouvre les yeux. Un ventre poilu. Mais c’est la réalité. Ce n’est pas Max, mais Xavier qui vient de juter. Céline est à ...
... côté, manifestement ébahie. La voix de Xavier me rappelle vraiment à la réalité :
— Ben, mon cochon ! Tu sais y faire. N’est-ce pas, Céline. Ton mari t’avait caché ce talent ?
Sans m’en rendre compte, entre souvenirs et réalité, j’ai pompé Xavier. Pompé avec manifestement assez d’ardeur pour que je le reçoive en bouche sous le regard sidéré de ma femme.
— Et en plus tu as une trique d’enfer ! Mon salaud, tu bandes comme un malade, à croire que…
Il ne termine pas sa phrase, mais continue :
— Hé, les enfants, il faut profiter de l’aubaine !
C’est ma femme qui réagit la première en s’allongeant.
— Viens, mon chéri. Viens, prends-moi.
« Pourvu que je reste comme ça… » je pense alors que je pousse ma queue d’une raideur anormale dans la fente encore grasse du foutre de Xavier. Putain, que c’est bon ! Cela fait… Oh, Céline referme ses jambes sur moi. Elle me veut. Elle me garde. « Mon chéri ! Mon amour ! » me dit-elle alors que, les yeux dans les yeux, je la baise. Une baise qui ne dure pas aussi longtemps que je voudrais, mais je suis comme un ado avec sa première fille qui n’arrive pas à se contrôler. Si Céline attendait mieux, elle ne le dit pas. Au contraire :
— C’est bon de te retrouver !
Le contrôle viendra plus tard. Pour l’instant je me reconstruis.
— Il faut que je vous dise.
Je raconte à ma femme et mon désormais sauveur tout ce qui m’est revenu à l’esprit. On dit que se confier aide à surmonter un traumatisme. Moi, je me suis fait un ...