1. Le cahier jaune


    Datte: 02/06/2019, Catégories: fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, sm, journal, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... lèvres toutes chaudes. Je fermai les yeux ; c’était délicieusement bon, mais si difficile de résister à une telle caresse !
    
    Elle s’activait autour de mon mandrin qui avait de plus en plus de mal à ne pas céder, à ne pas tout expulser pour venir noyer sa bouche si avide. Ses lèvres montaient et descendaient très lentement sur mon gourdin dressé vers le plafond. Ma tige disparaissait complètement dans cette bouche suave pour ressurgir peu après, luisante et brillante.
    
    Je profitais au mieux de cette magnifique fellation prodiguée par ma chienne. Je ne pus m’empêcher de gémir sous cet assaut buccal si bien administré. Je posai ma main sur ses cheveux soyeux, mes doigts accompagnant sa tête qui plongeait puis ressortait. Je soupirais abondamment : c’était trop bon, trop fort ! Soudain, je me crispai ; la vague était là, elle arrivait, elle progressait, elle déferlait !
    
    Dans un long gémissement, je me déversai dans sa bouche tandis qu’elle ralentissait son va-et-vient afin d’accueillir mon sperme qui fusait. J’adore ça, me déverser, l’envahir de mon foutre bien chaud et gluant ; c’est extra ! Oui, c’est extra, comme dans la chanson : c’est moite, c’est humide, c’est plein de choses indignes, mais si bonnes !
    
    Je me laissais aller, je me vidais, j’évacuais ...
    ... tout mon sperme, je vidangeais mes couilles, je les desséchais pour nourrir ma petite chienne, ma si belle chienne !
    
    Puis le grand trou noir. Je tombai, je succombai, je sombrai dans un vaste vide reposant, apaisant…
    
    Un néant anesthésique…
    
    Ma femme, ma chérie, tu remplis entièrement mon horizon. Je n’arrive pas à imaginer une vie sans toi. Tu es tellement… quels mots choisir ? Comment exprimer ce que je ressens ? Les mots ne veulent plus rien dire, finalement.
    
    Je me demande parfois pourquoi tu es avec moi, pourquoi tu restes avec moi… moi qui suis si… faible, diminué. Ne serais-tu pas aussi ma mère en plus d’être ma femme, ma maîtresse et parfois mon jouet ? Quand je ne suis pas le tien…
    
    Je songe à tout cela. Je me dis que la meilleure solution est de te l’écrire, sur ce cahier jaune ; je me débrouille mieux avec les écrits. Alors je me dirige vers mon ordinateur portable que j’allume ; je rassemble mes idées, mon courage. Je cale mon fauteuil roulant face à l’ordi – bientôt sept ans que je suis rivé dessus, les jambes mortes, le bassin croqué, broyé, sept ans que tu es toujours là. Je chasse ces pensées puis je me lance.
    
    J’ai tant à t’écrire…
    
    Merci à Favasso pour ses conseils et son avis pragmatique lors de la première mouture de ce texte. 
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