1. Le cahier jaune


    Datte: 02/06/2019, Catégories: fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, sm, journal, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... fort ascendant sur ma libido. » Ces phrases sont trop polies, comme un arbre qui cache la forêt…
    
    Plein de pages qui parlent pour ne rien dire, ou trop répétitives. On dirait que je tourne en rond, comme incapable de sortir de mon clos carré. Ah, quelque chose de différent à présent, une petite poésie :
    
    Bon… oui, je sais… ce n’est pas ce que j’ai écrit de meilleur dans la vie ; d’ailleurs, la poésie et moi… Ici, au moins, ça rime, c’est déjà ça ! Néanmoins, l’idée est claire et nette. Je me souviens, ce jour-là, du petit sourire de ma femme après avoir refermé le cahier. Moi, j’attendais la suite, un peu inquiet. Sa réaction fut étrange : elle m’embrassa sur le front ! Sur le moment, je ne n’ai rien compris à ce qui arrivait.
    
    Durant toute la soirée, comme j’oubliais de mettre le sujet sur le tapis, elle n’en parla pas non plus. Elle joua néanmoins avec moi, et y réussit très bien. Trop, même ! Elle me laissa épuisé sur le lit, les bras en croix, les testicules complètement asséchés !
    
    Le lendemain, je me suis absorbé dans mon travail. D’ailleurs, j’avais beaucoup à faire au matin ; l’après-midi fut un peu plus calme. Mais j’ai néanmoins pensé à plein de choses durant la journée. Trop, même !
    
    Je suis rentré le premier ; je me suis donc occupé de faire un peu de ménage et de vaisselle. Elle est arrivée environ une heure après. Je l’ai vue par la fenêtre se garer en face ; j’avais fini de ranger l’appartement. Avant qu’elle ne sonne, je suis allé lui ouvrir la ...
    ... porte. Elle est alors entrée en coup de vent pour se planter au beau milieu du salon-salle à manger. J’ai fermé la porte, mis la sécurité puis, un peu intrigué, je suis entré à mon tour dans la grande pièce ; et là, devant moi, elle a ouvert son manteau.
    
    Mon corps a intensément frémi, comme il a rarement pu le faire !
    
    Elle n’avait rien sous son manteau, ou presque. Son corps était nu. Seules de hautes bottes gainaient ses jambes, des cuissardes noires. Mais le plus fascinant était un collier de chien en cuir ébène et sa longue laisse en maillons argentés qui divisait son corps, séparant bien ses seins, masquant à peine son nombril et sa fente, pendouillant lascivement entre ses jambes, métal glacial contre chair tendre.
    
    Elle me laissa la regarder de haut en bas. J’appréciai énormément le spectacle qu’elle m’offrait. Puis soudain elle s’agenouilla devant moi, me donnant sa laisse. Alors, lentement, je fis le tour de la pièce tandis qu’elle me suivait à quatre pattes, remuant ostensiblement du popotin, à tel point que ma main ne résista pas à venir claquer sa fesse, puis à la caresser pour mieux en ressentir la rondeur et le velouté.
    
    Nous avons joué quelques instants, moi qui étais son maître, elle qui était ma chienne. Elle se comportait en effet comme un animal de compagnie, me ramenant les objets que je lançais. Je lui caressais la tête en remerciement. Elle jappait, elle lapa même le bol d’eau que je lui proposai. Elle était vraiment ma chienne, ma belle petite ...