1. Le cahier jaune


    Datte: 02/06/2019, Catégories: fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, sm, journal, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... chienne.
    
    Il ne faut jamais abuser des bonnes choses ; je lui dis alors :
    
    — Merci, ma chérie… Tu as été une magnifique chienne.
    — Tant mieux que ça t’ait plu, car je commençais à avoir des problèmes avec mes genoux.
    
    Elle se releva, frotta ses genoux sans doute rougis sous ses cuissardes, puis elle fit le tour de la table pour mieux reprendre possession de ses jambes. Moi, j’en profitai pour la mater : elle était si magnifique, nue avec ses cuissardes noires !
    
    Elle sentit sans doute le regard avide que je posais sur elle. Impudiquement, elle se rapprocha de moi, me faisant bien admirer son fruit pulpeux. Puis, projetant son bassin en avant, son sexe humide et odorant se plaqua sur mon visage. Son parfum intime m’enveloppait. J’ouvris la bouche pour goûter sa cyprine, ma langue s’insinua en elle, cueillant ses suaves sécrétions que je lapais avec avidité, inversant nos rôles.
    
    Elle se laissait faire tandis que ma langue s’activait entre ses lèvres dégoulinantes, s’insinuant dans la fente pour aller chercher au plus loin sa cyprine puis revenir ensuite taquiner son bouton rose fort sensible.
    
    À ce petit jeu, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle frémisse, pour qu’elle tangue. Elle pressa encore plus son sexe contre ma bouche, jusqu’à presque m’étouffer. Mourir de la sorte serait finalement une belle mort, en pleine action !
    
    Un frémissement, un gémissement, un soupir…
    
    Tremblante, elle s’agita en désordre tandis qu’elle jouissait sous ma langue. Puis ...
    ... soudain, elle me repoussa, la sensation étant devenue trop forte, trop puissante.
    
    Elle s’avachit dans le fauteuil, face à moi, les yeux mi-clos, toujours frémissante, impudique, jambes largement ouvertes, sa bouche grande ouverte. Moi, je la contemplais. J’adore la voir jouir ainsi, se laisser aller, son corps totalement secoué de frissons. Un certain temps s’écoula avant qu’elle n’émerge de sa petite mort. Soudain, elle se redressa et vint se planter à nouveau devant moi, puis elle me lança :
    
    — Tu as bien fait jouir ta petite chienne, tu sais…
    — Tant mieux.
    — Chacun son tour !
    
    Puis lentement, me regardant dans les yeux, elle s’agenouilla devant moi, s’attaquant à mon pantalon. Il ne lui fallut pas longtemps pour révéler au grand jour mon sexe bien dur. Elle s’en empara aussitôt, me prodiguant une douce caresse entre ses doigts.
    
    Lutine, elle décalotta puis recalotta mon bout, lentement, sensuellement, jouant avec mon frein, taquinant délicatement mon prépuce. Comme ma femme sait très bien s’y prendre, la sensation était très forte ; ma queue tressaillait sous ses caresses voluptueuses, et je dus sérieusement me contrôler afin de ne pas éjaculer tout de suite. Et ça, elle l’a très bien compris, en bonne vicieuse qu’elle est. Chafouine, elle s’en amusa :
    
    — Je vois que ton petit soldat est en pleine forme…
    — Avec toi, il serait très difficile d’en être autrement, ma chérie…
    
    Sans répondre, elle se pencha sur mon sexe puis elle l’enveloppa langoureusement de ses ...