1. Quelqu'un dans mon genre


    Datte: 01/06/2019, Catégories: fh, voisins, amour, Oral nopéné, Humour Auteur: Marie Anne & Luc Carois, Source: Revebebe

    ... côtés.
    
    Une fois le boxer à peu près à sa place initiale, je reviens poser mes doigts contre son intimité, les glissant sous la lingerie fine. Sa chatte est trempée. J’effleure délicatement son clitoris, et Sally, comme électrisée, pousse un cri étranglé. Souriant contre ses cheveux qui sentent si bon, je continue à frôler son humidité de la pulpe de mes doigts…
    
    — C’est de la torture ! proteste-t-elle.
    
    Et elle ouvre violemment sa ceinture de pantalon pour saisir ma main et la plaquer contre sa chatte ouverte.
    
    Là, j’avoue que je suis tellement dur dans mon boxer que je dois atteindre dix sur l’échelle de la bandaison. J’enfonce un doigt dans sa fente, rêvant instantanément d’y mettre mon sexe. En arrière-plan, le lit qui nous attend, les draps ouverts… Me vient l’image d’elle complètement nue dessus et les cuisses ouvertes… Bon sang, ce qu’elle m’excite ! J’essaie de faire taire la petite voix dans ma tête qui gueule de plus en plus fort d’arrêter ça avant qu’il ne soit trop tard. Sally bouge les hanches en poussant des soupirs lourds de désir. Sa main chaude sur la mienne se déplace, et elle se met à enfoncer mon index en plus de mon majeur dans sa chatte.
    
    Message reçu…
    
    Je commence à la doigter profondément et reprends sa bouche comme un damné. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps si elle continue à me chauffer comme ça… Est-elle complètement folle de désir, ou sait-elle ce qu’elle fait ? Ça me chiffonne. Je réalise que je tiens vachement à elle, et que ...
    ... je n’ai pas envie de la perdre après une partie de baise.
    
    Au prix d’un immense effort, je cesse de l’embrasser, de la caresser, et la repousse doucement.
    
    — Attends, Sally…
    
    Elle lève un regard voilé et le plonge fixement dans le mien. Je bande encore plus, si c’est possible.
    
    — Attends… quoi, David ? souffle-t-elle faiblement.
    
    Je lis alors une complète incompréhension dans son regard. Elle est désemparée, totalement désemparée. Et moi, totalement ravagé de l’intérieur. Mais… Non, je ne veux pas que ça se passe comme ça. J’allume le plafonnier de la chambre. Une lumière vive et intense se répand, elle cligne des yeux… Un peu violent sans doute, comme transition, mais je ne veux plus rien cacher : je veux qu’elle voie mes yeux, que nous soyons cette fois à égalité. Assez joué… On ne badine pas avec l’amour, comme disait l’autre…
    
    — David, je ne comprends pas…
    — Assieds-toi… Faut qu’on parle.
    
    Elle passe sa langue sur ses lèvres, sondant mon regard. Puis s’assied lentement tout au bord de mon matelas. Elle a encore le souffle court, et moi je lutte pour ne pas la reprendre dans mes bras. Un lourd silence s’installe…
    
    — Sally, je suis un salaud…
    
    Elle fronce les sourcils.
    
    — Qu’est-ce que tu racontes ?
    — Je sais que je te mets dans tous tes états, mais je sais aussi qu’au fond de toi, comme tu viens de l’écrire, tu ne veux pas, tu as peur, tu n’es pas prête…
    — J’ai envie de toi et tu as envie de moi… Soyons amants, David, et rien d’autre.
    — C’est trop ...