La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (2)
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mir, Source: Xstory
... trouverez d’autres verges à sucer, d’autres vits auxquels offrir votre œillet, d’autres beaux esprits pour exercer votre insatiable désir d’instruction, d’autres autorités à contrarier. Mais moi, où trouverai-je mon idéal, votre âme tendre et ferme à la fois, votre esprit aiguisé, vos lèvres à baiser, votre corps à honorer ?
Je ne sais pourquoi, à cet instant mon cœur et mon corps s’emballèrent. Je m’étais interdit, dès l’adolescence, d’aimer : j’avais compris que l’amour n’était qu’une soumission de plus au monde des hommes. Mais depuis le début de mon commerce avec mon cousin, après tout, je me soumettais à son plaisir, il y avait peu jusqu’à admettre que le désir de mon corps atteignait aussi mon âme…
Je laissai donc céder toute prudence, plaçai sa main entre mes jambes et le regardai dans les yeux.
- Mon cousin. Dans moins de dix jours je serai mariée. Mon futur époux m’est étranger mais c’est lui que les règles destinent à prendre ce que, parait-il, j’ai de plus précieux : ma virginité. C’est lui qui aura ce privilège, lui, le vieil homme, celui auquel je ne sais pourquoi mon père accepte de me livrer, lui qui me fait horreur par avance, tandis que je n’ai qu’affection et désir pour vous. Faites de moi une femme.
Il se figea et pâlit.
- Vous n’y songez pas, sans votre fleur votre époux vous considèrera comme déshonorée, il pourrait vous renvoyer chez vos parents qui vous renieraient…
- Mon cousin, j’ai déjà surpris bien des conversations de filles à ce ...
... sujet. Manifestement, la ruse la plus usitée est une vessie quelconque remplie de sang de menstrue à placer dans la matrice au début de la nuit de noces.
Mon cousin me fixait, effaré.
- Une vessie dans la matrice ? Du sang de menstrue ? En voilà une sorcellerie !
- Allons cousin, ne cédez pas à la petitesse superstitieuse. Une vessie quelconque : un cuir fin, cousu étroitement, de façon à ce que le liquide ne s’en échappe pas. Quant au sang… Si les menstrues sont trop loin pour le garder liquide, il suffit d’y ajouter un peu d’eau, ai-je entendu. Le tout au fond de la matrice, le vit tendu de l’époux appuie dessus, libère le sang et voilà la mariée déflorée.
- Vous êtes folle, ma cousine.
- Oui. De vous. Prenez-moi.
Il me regarda gravement. Je l’avais dit, ce sentiment interdit, je m’étais livrée à lui, bien plus que lorsque j’avais accepté pour la première fois qu’il force mon œillet de sa verge. Le cœur battant, j’attendais.
Il baisa doucement ma bouche, mes yeux, mon front.
- Ma cousine, je ne saurais dire à quel point je vous admire, tant pour votre résolution que pour votre courage. Vous avez su dire ce que je n’ose m’avouer à moi-même, craignant trop ce sentiment si puissant.
- Mon cousin. S’il vous plait.
Il me coucha alors sur le dos, délaça posément mon corsage et ouvrit ma robe. Il releva mes jupons, dévoilant le haut de mes jambes. Fouillant dans les tissus, il se fraya un chemin jusqu’à mon sexe déjà trempé. Il sourit, sortit sa verge ...