1. L'île aux cochons (1)


    Datte: 28/05/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... trouble à m’exhiber si impudiquement. Mon cœur battait plus fort dans ma poitrine.
    
    Le retour bruyant de mon mari m’obligea à me recouvrir rapidement de quelques palmes sous les yeux ahuris de Fang. Nos yeux se croisèrent. Je me détournais, gênée qu’il puisse imaginer que je l’avais fait exprès.
    
    Edouard proposa au jeune homme de l’accompagner dans les rochers pour y chercher des coquillages.
    
    De nouveau seule, je glissais mes doigts entre les lèvres de ma chatte, caressant les nymphes mouillées par l’excitation. J’invoquais le garçon face à moi. Il me regarderait me masturber. Un frisson délicieux parcourut mon ventre.
    
    « Je deviens folle ! »
    
    Je me retournais et m’allongeais sur le ventre.
    
    Un jour passa encore et toujours pas de secours. Je me sentais lasse. Affaiblie et angoissée, je passais le plus clair de mon temps à dormir.
    
    En début d’après-midi, je me traînais hors de l’abri pour uriner. Des arômes irrésistibles embaumaient subtilement l’air. Je humais le vent comme un animal.
    
    C’était bien une odeur de chair grillée ! Tout à coup, j’eus une terrible envie de viande rôtie. Mon estomac se tordit douloureusement.
    
    Les effluves m’entraînèrent à travers la jungle jusqu’à la lisière d’une clairière. Je découvris le camp de l’équipage. Un abri de bois était construit sous une large avancée de roches.
    
    Je bavais sans m’en rendre compte. Le délicieux parfum venait d’une bête empalée sur un long bâton que l’imposant sumo, accroupi sur ses talons, ...
    ... tournait au-dessus des braises. Il était entièrement nu ! Je distinguais son pénis et ses testicules, pendant mollement sous son énorme ventre. C’était obscène.
    
    À genoux, derrière un buisson, affamée comme jamais, j’hésitais sur la conduite à tenir.
    
    « Ses gars-là sont triés sur le volet. » Avait dit mon mari.
    
    C’était rassurant. Mon estomac gargouilla bruyamment. Le désir de viande fut plus fort que la peur. Je me levais et franchis comme une somnambule la distance qui me séparait du camp.
    
    Le Mongol se leva à mon approche. Les deux autres matelots sortirent de l’abri, aussi nus que leur compère. Leurs yeux noirs fixaient mon corps mal dissimulé sous l’habit végétal. Je croisais les bras sur ma poitrine.
    
    Ne pouvant soutenir leurs regards brûlants, je baissais les yeux. Ce faisant, je constatais de visu les effets que ma venue produisait sur leur libido. Les pénis gonflaient et se redressaient sur leur bourse pleine.
    
    Les formes et les dimensions des sexes étaient différentes, mais tous largement plus développés que celui de mon mari ! Celui de Rodrigo, le mécano, était légèrement arqué vers le haut, avec un bout en pointe de fusée alors que celui de Honesto était droit, surmonté d’un gland, rond et lisse, plus volumineux que le reste de la verge.
    
    Quant à celui de Masaru, il était en proportion du personnage. Impressionnant !
    
    Je frissonnais et regardais mes orteils. J’étais écartelée entre la peur d’être violée par ces animaux en rut et l’impérieux besoin de ...
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