L'île aux cochons (1)
Datte: 28/05/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... oiseaux et la fraîcheur du petit matin, me réveillèrent. Profitant qu’Edouard et Fang dormaient encore, je me levais pour satisfaire des besoins naturels. Curieuse, je jetais un regard sur la bosse qui déformait le short du garçon. Et bien ! Pour un gamin, il était bien développé !
Trois jours passèrent. Je commençais à douter de l’arrivée rapide des secours. Je dépérissais, allongée seule sous l’abri pendant que mon mari et Fang, ramassaient et préparaient notre repas.
Je n’en pouvais déjà plus de manger ces noix de coco qui me donnaient la diarrhée.
À part mâcher cette pulpe écœurante, ma principale occupation était de me prémunir de la chaleur, le jour, et de la fraîcheur, la nuit. Revêtue de mon costume végétal qui m’irritait la peau, j’errais sur la plage dans l’espoir d’apercevoir un navire ou un avion.
J’eus une pensée pour ce pauvre Capitaine. Je réalisais que j’avais échappé de peu à son triste sort et cela me bouleversa. Je serais morte vierge ! Les seules relations sexuelles satisfaisantes que j’avais connues, c’était avec Clara.
Je pensais avec regrets à tous ces beaux garçons musclés dont j’avais repoussé les avances. Quelle idiote, j’avais été ! Des larmes de désespoir coulèrent sur mes joues. Je me sentais si misérable !
Je me réveillais en sueur au milieu de la nuit. La chemise de nuit était remontée au-dessus de mon ventre et le pénis en érection de l’adolescent endormi pressait mes fesses nues. La chaude virilité me troubla.
Pourquoi ...
... ne pas en profiter alors que j’allais probablement mourir sur cette île ? Je me disposais de façon à ce que le pénis frotte entre mes cuisses et remuais le bassin pour me caresser dessus.
C’était doux et excitant. Au moins jusqu’à ce que la main chaude du garçon se pose sur mes hanches. Je l’avais réveillé et cet idiot se méprenait sur mes intentions.
« Pour qui se prend ce rustre ? »
Contrariée, je balançais quelques secondes sur la conduite à tenir. Je me retins de le remettre vertement à sa place. Je craignais qu’il ne nous abandonne, rejoigne l’équipage et me prive de sa chaleur animale. Finalement, je me contentais de le repousser fermement et me serrais ostensiblement contre mon mari. Il n’insista pas. Confusément frustrée, n’osant pas caresser ma chatte humide, je finis par m’endormir.
Le lendemain matin, en revenant de la plage, je profitais de l’absence des deux hommes pour suspendre sur une branche, la chemise de nuit que je venais de laver. En attendant qu’elle sèche, je m’allongeais sur la couche d’herbes.
Nue, nonchalamment alanguie dans la chaleur moite de la mi-journée, je méditais sur mon funeste destin et accessoirement sur la virilité de Fang.
Je reconnus son pas. Je me contentais de fermer les yeux.
Il me crut endormie. À travers mes cils, je le vis déposer son chargement d’horribles noix de coco et regarder sans vergogne entre mes cuisses légèrement ouvertes.
Quelle impertinence ! J’aurai pu y mettre fin, mais j’éprouvais un plaisir ...