Coup de canif (2)
Datte: 28/05/2019,
Catégories:
fh,
cocus,
voisins,
pénétratio,
Auteur: Saxe, Source: Revebebe
... battre pour la garder, la reconquérir ! Je devais faire en sorte que cet instant d’égarement ne soit plus qu’un vague souvenir, fugace et tenu.
J’avais été trop négligent ces derniers temps, et trop sûr de moi. J’étais décidé à redoubler d’égards et de prévenances.
Cette nuit, je suis resté longuement encore éveillé à ressasser ces sombres images. J’avais beau essayer de chasser ces pensées, elles revenaient, obsédantes, avec ces insupportables visions obscènes du corps de ma femme soumis aux caprices de son amant. L’aube commençait déjà à poindre quand je me suis endormi !
Aussi, dès le lendemain, j’avais entamé l’opération « reprise en main »
Il me fallait briser mon image de macho, me révéler plus tendre que jamais…
Pour commencer, à sa grande surprise, je lui avais apporté un somptueux petit déjeuner au lit. Tout comme au début de notre mariage. Elle en avait été très touchée.
Pour m’en remercier, juste après, elle s’était faite caressante. Je l’avais serrée contre moi, avec une tendresse renouvelée.
Cette matinée de dimanche, nos corps se sont retrouvés comme jamais.
Je l’ai couverte de baisers; je l’ai goûtée, mangée, tâtée, palpée, fouillée !
Je me suis régalé de son abricot juteux, de ses seins pulpeux, de ses fesses rebondies. Je l’ai remplie de mes doigts fureteurs, de ma bite tendue, toute cette matinée dominicale.
J’en avais même oublié mes émissions télé habituelles; ni Stade 2, ni le journal du sport de l’Equipe TV, Je l’ai prise et ...
... reprise dans ses moindres recoins. Avec en prime de douces paroles, ces mots d’amour dont les femmes raffolent. Cela avait été une grasse matinée sexe, très hard ! Du style de celles du début de notre relation.
Elle était dorénavant pleinement femme, puisqu’elle avait goûté à un autre homme!
Et je ne l’en désirais que plus ardemment. Même plus, pendant que je la pénétrais ce matin là, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer la grosse bite qui l’avait fourrée, et à ma grande honte, j’en éprouvais un trouble étrange.
Ce jour là, il n’y a pas eu que le sexe. Pour la distraire je l’ai emmenée au théâtre, aux matinées de la Comédie Française. On y jouait la « Nuit des rois», une pièce de Shakespeare. Un vrai régal. Nous sommes sortis du théâtre encore plus complices. Et pour terminer la soirée, je l’ai emmenée à la Tour d’Argent pour un somptueux dîner d’amoureux.
La nuit, avant de dormir, sexe à nouveau. Je me demandais d’où je tirais cette énergie!
Je n’ai pas baissé de garde, les jours suivants. Je me suis montré toujours plus tendre et amoureux.
Je n’ai pas même eu peur du ridicule,auprès de mes amis quand j’ai annoncé que désormais, le foot, c’était fini pour moi : ils ont tous ricané, ils avaient du mal à me croire.
Fred mon meilleur ami s’étonnait :
— Tu ne viendras même pas au Parc samedi, m’interrogeait-il ?
— Non Fred, j’ai promis à ma femme de ne plus la délaisser pour le foot.
En fin de compte, cette crise avait été salutaire pour notre couple. ...