1. Coup de canif (2)


    Datte: 28/05/2019, Catégories: fh, cocus, voisins, pénétratio, Auteur: Saxe, Source: Revebebe

    Coups de canifs
    
    J’ai raconté précédemment ce que la rencontre P.S.G – O.M m’a coûté. À votre demande, je vous en livre la suite.
    
    La nuit qui a suivi a été très agitée. Peuplée d’images troubles et perturbantes. Des visions où je perdais mon épouse, de départs, d’enlèvements violents. Tout cela dans un brouillard trouble et confus. Je me suis réveillé, je ne sais combien de fois, haletant et bouleversé. Ma femme près de moi dormait paisiblement, calme traîtresse.
    
    Seuls deux rêves pourtant ont émergés de ce sommeil perturbé.
    
    Dans le premier, j’assistais à un match du P.S.G. au Parc des Princes. J’ai l’impression qu’il s’agissait d’une séance de tirs aux buts. Je discernais les joueurs sur le terrain, l’arbitre et, au point de penalty, un joueur adverse qui s’apprêtait à affronter Letizi. Il s’élançait, tapait dans le ballon… Et soudain, je me rendais compte qu’en fait, le gardien de but était ma femme, qu’elle recevait le ballon à la hauteur de son vagin, un ballon qui au cours de son envol s’était progressivement transformé en un splash liquide de mille gouttelettes. Comme une giclée de sperme. Et, juste à la hauteur de l’impact, le short de ma femme était marqué d’humidité. Et ceci par deux fois!
    
    Je me targue d’analyser un peu mes rêves et celui-ci me paraissait clair. Par deux fois, elle me l’avait avoué, elle s’était faite honorer par son amant basketteur. Et, cruellement, le songe me le rappelait maintenant.
    
    Dans le second nous étions, ma femme et moi, ...
    ... assis dans le compartiment d’un train, elle à ma droite, moi côté fenêtre. Le train s’ébranlait et, juste à ce moment du départ je la voyais s’éloignant sur le quai au bras de son amant. Par la vitre baissée, je l’appelais désespérément, mais en vain et je me réveillais là haletant !
    
    Mon inconscient me disait visiblement qu’il me serait dorénavant difficile de chasser de son esprit son aventure d’un soir. Peut être même, que déjà et malgré sa promesse, elle avait l’intention de mener de front, sa vie d’épouse et une liaison suivie avec son salaud de basketteur.
    
    Avec anxiété, j’ai regardé à nouveau près de moi, elle dormait du sommeil du juste. J’ai soulevé les draps comme je le fais souvent dans son sommeil, pour la mater, j’aime ça. Bon sang, ce qu’elle était belle dans sa chaude nudité ! Rien qu’à la voir comme, ça j’étais à nouveau durci . Je me suis plaqué contre sa chair douce et brûlante. Un vrai plaisir!
    
    Et une vraie douleur, à imaginer qu’un autre, depuis hier soir, en avait usé et abusé!
    
    Je pensais, avec une morsure au coeur, que ce salaud avait parcouru de ses mains, de sa langue, cette peau suave et vibrante et qui n’aurait du être que mienne! Qu’il l’avait d’ailleurs, par deux fois fouillée de sa grosse bite rigide.
    
    J’en aurais pleuré de rage!
    
    Et cependant, curieusement, à l’admirer ainsi dans sa nudité ensommeillée de femme infidèle et souillée, une excitation nouvelle me prenait. Elle en était devenue que plus précieuse. J’étais décidé à me ...
«1234...7»