La garce malgré elle
Datte: 27/05/2019,
Catégories:
f,
fh,
jeunes,
nympho,
grossexe,
groscul,
forêt,
amour,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Alcibiade, Source: Revebebe
... savourer la souplesse et l’élasticité. Il la complimente à l’oreille, se gardant de tout commentaire graveleux ou grossier, ce dont elle lui est reconnaissante. Il lui souffle aussi qu’il a grande envie de la fesser pour de vrai ; il n’ose pas à cause du bruit. Elle cherche sa bouche dans le noir et l’embrasse tendrement, tandis que la main du garçon câline gentiment son sexe :
— Plus tard…
De fait, sa croupe rebondie et veloutée paraît appeler les claques ; elles tombent parfois dru, et même un peu trop à son goût ! Mais Nadège accepte de bonne grâce ce genre de sévices, pourvu qu’ils relèvent du désir et que son amant demeure tendre. L’année passée, elle a même à plusieurs reprises enduré le martinet : expérience bénigne mais assez cuisante. Pour son plaisir, les lanières cinglantes n’ont été d’aucun secours ; en revanche elle a surabondamment mouillé quand une main, redevenue câline, a étalé amoureusement la fraîcheur d’un onguent bienfaisant sur ses rondeurs en feu.
S’appuyant sur les bras pour ne pas lui infliger la totalité de son poids, Éric sent contre son ventre les volumes et la douceur de sa chair. En la pénétrant il bande comme un taureau de concours. Le ventre de Nadège accueille le sexe du garçon avec un petit bruit de clapotis. Elle est un peu honteuse de mouiller à ce point, tant est flagrante l’impudicité du désir féminin !
Est-ce la chaleur du corps masculin, la douceur et la force envoûtantes d’Éric, son souffle chaud dans son cou, son sexe ...
... lui-même, qui dilate délicieusement son vagin ? En dépit du fait qu’elle est immobilisée elle sent bientôt un nouvel orgasme monter et s’épanouir en feu d’artifice. Elle a les pires difficultés à rester discrète. Cette fois le garçon se laisse aller et pour le coup, s’enfonce aussi loin qu’il peut, écrasant sous lui les grosses fesses satinées. Elle n’en ressent que du bien-être…
Lorsqu’elle s’étendit à nouveau à côté de François qui ronflait tout doucement, elle était rompue ; l’aube pointait, et Nadège avait un rendez-vous pour ce même soir, à la pizzeria des quais. Elle aurait nagé dans le bonheur si une angoisse ne l’avait taraudée. À la questionqu’est-ce que je dis à François ? Éric – le salaud ! – avait répondu avec un bisou et une simplicité désarmante :
— Tu aviseras, je te fais confiance.
Elle était prise au piège, mais décida de renvoyer à plus tard les affreux problèmes qu’elle voyait se profiler et sombra dans l’inconscience.
Au petit matin François, en pleine forme, la réveilla en fanfare. Elle émergea péniblement et envisagea la sombre réalité. Elle eut la langue levée pour lui dire qu’elle ne tenait aucunement à forniquer avec lui, mais comment lui raconter ce qui s’était produit, comment lui expliquer ce à quoi une jeune fille honorable dormant à ses côtés avait consenti durant la nuit, pendant que lui dormait du sommeil du juste, son devoir de mâle dûment et talentueusement accompli ? Bref, comment se refuser à lui ? Mal de tête ?
Mais il était ...