La garce malgré elle
Datte: 27/05/2019,
Catégories:
f,
fh,
jeunes,
nympho,
grossexe,
groscul,
forêt,
amour,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Alcibiade, Source: Revebebe
... prit dans le silence le plus total avec une souplesse de fauve. Il n’en fallait pas moins, car le grand timide cachait bien son jeu et il tenait de la place ! Le loger dans le ventre accueillant d’une fille bien née ne posait évidemment aucun problème, mais le faire en toute discrétion et dans l’économie des mouvements, c’était une autre histoire. Elle était si désireuse de lui que, pendue à sa nuque, le nez dans son cou, ramant éperdument du bassin, elle parvint en un rien de temps à un orgasme qu’elle eut un mal fou à écraser. Il se retira sans avoir joui et, la queue en bataille, ramassant une couverture au passage, l’emmena hors de la tente, quasiment nue, vêtue de son seul T-shirt.
Il est peut-être trois heures du matin, le campement est silencieux, tout dort. Dans l’obscurité il l’entraîne près du feu mourant. Tandis qu’ils marchent dans le noir, elle sent sa main effleurer le bas de ses fesses grassouillettes qui vadrouillent librement en bas du T-shirt. Il la fait étendre, se couchant à son côté, toujours bandant superbement, lui caresse longuement le visage et dépose nombre de bisous dans son cou, ce qui la fait à nouveau mouiller comme une damnée.
Éric alors, lui susurre qu’il aimerait trop jouir dans ses grosses fesses. Elle s’en doute un peu. Depuis que la puberté l’a si bien pourvue, ses amants, tôt ou tard, ont exprimé le désir de se planter entre ses mappemondes.
Généralement elle y consent. Une fois bien préparée elle ne trouve pas l’exercice ...
... déplaisant, même s’il ne lui procure aucun vrai bonheur physique. En fait elle ne s’y livre que par affection, pour faire plaisir, parce qu’elle veut bien. Elle lui demande s’il a du lubrifiant.
— Non, pas ici, répond-il.
Elle l’embrasse sur le nez :
— Alors ce sera pour une autre fois !
Il entreprend de déposer des baisers à l’intérieur de ses cuisses, là où la chair est si tendre et la peau si douce. Puis il remonte jusqu’à sa fleur complètement ouverte, tellement baveuse que Nadège sent la fraîcheur de la nuit. Elle lui prend la tête à deux mains :
— Non, non ! Pas ici, pas maintenant, non, baise-moi, baise-moi encore, c’était bon tu sais. Attends, prends-moi comme ça…
Elle s’étend à plat ventre et ouvre les cuisses aussi largement qu’elle peut. C’est pour lui faire plaisir. On n’y voit quasiment rien, mais elle sait que dans cette position, son gros derrière totalement relâché s’étale moelleusement en prenant des proportions énormes. La main d’Éric commence par des effleurements, comme pour suivre les contours, évaluer les masses, goûter les volumes, puis elle palpe plus franchement, malaxant en profondeur, les doigts s’enfonçant dans le dodu. Il se régale manifestement, tapotant, envoyant des chiquenaudes, faisant mouvoir sa chair du bout des doigts. Pour le faire enrager elle contracte ses muscles. Il chuchote :
— Ah non, pas de ça !
Et dans un accès de bonne humeur, il fesse tout doucement le gros cul qui valse sous sa main ; il ne se lasse pas d’en ...