La garce malgré elle
Datte: 27/05/2019,
Catégories:
f,
fh,
jeunes,
nympho,
grossexe,
groscul,
forêt,
amour,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Alcibiade, Source: Revebebe
... féminité. Il y avait encore autre chose.
À 19 ans Nadège n’est pas tombée de la dernière, elle fait la différence entre ce qui plait aux mâles et ce qui les motive. Son short en jean révèle des cuisses rondes et musclées, mais surtout, il moule gracieusement des formes un tantinet excessives. Un tantinet, façon de parler ! Une génétique fantaisiste l’a pourvue d’une taille ultra fine vissée sur des hanches extra larges, assorties d’une paire de fesses hautes, bombées et dodues. Bref, sur sa minceur la nature et le goût des douceurs ont greffé de bonnes cuisses et un cul si invitant qu’il en frise l’indécence.
Son cher et tendre ne s’en est jamais offusqué. Il aurait même tendance à en rajouter, vantant volontiers les moelleuses abondances de sa femme. À l’entendre, il paraît que le spectacle de Nadège déambulant en bikini sur une plage devrait être interdit aux moins de 16 ans ! Tant mieux, tant pis, elle déteste les maillots une pièce. Et puis même si elle en portait un, qu’est-ce ça changerait au roulis de ses hanches ? Dans sa prime jeunesse elle a été complexée par son physique, mais elle a vite compris que ses rondeurs lui attireraient toujours les attentions masculines, du moins tant qu’elle garderait son allure de mandoline, avec sa taille fine et son ventre plat. En fait, c’est ça l’impératif ! Ne pas prendre de ventre… Après, le choix est tout à elle : attirer est une chose, consentir en est une autre, garder est le vrai problème.
On marcha, on fit ...
... connaissance, on déjeuna sur l’herbe, le soir on prépara le campement, il faisait très bon mais on alluma un feu de bois, puis quelqu’un sortit une guitare, on chanta. Pendant ce temps, des quarts circulaient, une âme charitable ayant, supposait-elle, préparé du thé. Nadège s’aperçut que c’était un gin-orange du genre corsé : voilà qui annonçait franchement la couleur ! Elle ne s’en inquiéta pas ; elle se sentait en appétit et avait décidé de se laisser aller. Elle accepterait d’avoir de la compagnie cette nuit, pourvu qu’il s’agisse de François Bossi ou d’Éric Lemoine.
Ces deux-là lui plaisaient physiquement, en plus elle était loin de les trouver antipathiques, le premier plus souriant, le second plus ombrageux et secret. Et si un troisième larron se présentait ? Eh bien dans ce cas, ce serait non, voilà tout ! Cependant elle avait bon espoir : François s’étant montré très empressé toute la journée, elle ne doutait pas qu’il cherche à transformer son essai. Éric avait l’air beaucoup plus timide ; il s’était limité à quelques propos banals, à des regards insistants, à des frôlements silencieux, profitant aussi d’un passage délicat pour lui tendre une main secourable. Elle avait bien compris.
Elle plonge dans son quart et tète une gorgée. Pour l’heure Céline, une petite rouquine rondouillarde et rigolote, se laisse complaisamment lutiner par deux compères dont les intentions communautaires sont claires. Quelle audace ! Est-ce que Nadège oserait ? Grave question ! Oui, sans ...