1. La garce malgré elle


    Datte: 27/05/2019, Catégories: f, fh, jeunes, nympho, grossexe, groscul, forêt, amour, fsodo, fouetfesse, Auteur: Alcibiade, Source: Revebebe

    ... déjà en pleine action, bandant fort, lui pétrissant une fesse et lui mordillant un mamelon. Affreux ! L’horreur ! Se traitant mentalement de vraie pute, Nadège opta pour lui accorder son petit bonheur dans un accès de pseudo-générosité qui avait tout de la lâcheté et renvoya les complications à plus tard. Toutefois son corps ne parut aucunement disposé à générer du plaisir. Elle ne tenta pas de feindre, lui soufflant qu’elle n’était pas du matin, mais qu’il pouvait en user à sa guise. C’était une erreur. Un refus s’imposait, elle ne tarderait pas à découvrir que sa luxurieuse tergiversation allait faire empirer les choses.
    
    C’est ainsi qu’après avoir trompé François durant la nuit, elle trompa Éric au matin. Ce fut d’ailleurs pour la seule et unique fois dans leur vie commune.
    
    Elle le lui raconta le soir-même, car son premier amant ne donnerait peut-être pas dans la discrétion et elle ne voulait pas que le second apprenne plus tard ses turpitudes, à la faveur d’un bavardage fortuit. Au demeurant, il lui semblait qu’au vu de la nature de ses entreprises de la nuit, celui-ci aurait eu mauvaise grâce à se plaindre. Elle avait « avisé » comme il disait si bien, voilà tout ! En fait il ouvrit de grands yeux, ajoutant seulement :
    
    — Il y a des filles qui n’ont vraiment peur de rien ! Il faudra que je m’en souvienne.
    
    Elle plissa les yeux, incertaine sur la façon dont elle devait prendre le compliment.
    
    Ce matin-là, elle prit François à part et lui raconta une histoire ...
    ... qui lui parut abracadabrante, mais elle n’avait pas trouvé mieux : avant lui, elle était avec Éric, ils s’étaient fâchés mais ils désiraient se remettre ensemble, il devait être compréhensif ; elle n’avait aucun regret pour ce qui s’était passé mais c’était fini. Ses traits s’affaissèrent, il se détourna, la tête basse. Puis il revint à la charge :
    
    — Mais… tout à l’heure on a… Mais tu t’es laissée baiser !
    
    Il fronça les sourcils et prit un air franchement dégoûté :
    
    — Alors comme ça, t’étais pas du matin hein ? Mais qu’est-ce qui a changé depuis hier soir ? Et au fait, quand est-ce que tu lui as reparlé à celui-là ? Qu’est-ce qui s’est passé cette nuit ?
    
    Elle préféra ne rien répondre et garder la tête basse, mais elle sentit que l’abattement se changeait en colère :
    
    — Sale garce !
    
    Il lui tourna le dos. Elle se dit qu’elle ne l’avait pas volé ; elle avait été bien nulle sur ce coup-là… Elle n’osa plus jamais le regarder en face, cette forfaiture resta l’une des pires hontes de sa vie.
    
    Le soir, brisée par les émotions et les efforts fournis au cours de la randonnée, elle prend quand même un bain et se refait une beauté avant de partir à son rendez-vous. Dernier coup d’œil à la glace : le maquillage ? De l’ongle, écarquillant les paupières, elle enlève un soupçon d’eye-liner excédentaire. Les cheveux ? Elle arrange légèrement une mèche brune du bout des doigts.
    
    Elle recule de deux pas pour un regard d’ensemble ; elle a choisi un style sexy-chic qui devrait ...
«12...678...»