1. Deux plus deux


    Datte: 26/05/2019, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, noculotte, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, amourdura, Auteur: Rimaye, Source: Revebebe

    ... dévisageant en retour, humides d’émotion. Mes mains descendirent sur ses bras pour la débarrasser des bretelles de la robe qui tomba sur son ventre, dévoilant ses seins que je n’osai effleurer pour l’instant, me contentant de les contempler, lâchant sa bouche pour un instant. Ils étaient de la taille d’une grosse pomme, et ronds de même. Caroline avait l’une des plus belles poitrines qu’on pût rêver, ferme et douce – elle n’avait nul besoin de soutien-gorge.
    
    D’une main habile, je défis la fermeture éclair de la robe et la fis allonger au milieu du lit, tout en défaisant mon t-shirt à la hâte. Je vins m’allonger sur elle pour sentir ses seins contre ma poitrine et l’embrasser encore. Je ne pouvais détacher mon regard du sien, hypnotisé par sa beauté et par l’amour que j’éprouvais pour elle. Mais mes mains ne restaient pas inactives, descendant sur ses hanches galbées et maintenant dénudées. La robe était maintenant descendue sur sa taille.
    
    Elle se redressa et vint défaire ma ceinture et ma braguette, libérant mon sexe encore maintenu dans mon boxer qu’il déformait. Elle le flattait à travers le tissu, insistant là où une tâche d’humidité naissait. Elle poursuivit ses caresses sur mes fesses et mon dos. Ses doigts m’électrisaient, jouant avec les poils autour de mon nombril, griffant mon torse avec douceur, puis redescendant dans mon dos pour s’insinuer entre mes fesses où ils descendirent, descendirent… jusqu’à effleurer mon anus où ils s’attardèrent quelques ...
    ... instants, caresse nouvelle pour moi. Jamais elle ne m’avait fait cela.
    
    Je m’écartai un instant pour me défaire de mes derniers vêtements. Maintenant nu comme Adam, et bandant comme un satyre, je fis descendre le morceau d’étoffe rouge boudiné autour de sa taille le long de ses hanches, de ses fesses, de ses cuisses, de ses jambes, et finalement de ses pieds. Je contemplai sa nudité et son intimité offerte. Son triangle de poils noirs soigneusement taillés se détachait sur sa peau rose. Je déposai un baiser sur son pied, sans détacher mon regard de mon objectif, ces deux plis de chair plus foncée et luisante entre lesquels pointait un bouton de chair encapuchonné.
    
    Je remontai sa jambe avec lenteur, m’attardant sur chaque grain de beauté, faisant le tour de son genou, puis de l’autre, léchant l’intérieur de ses cuisses pour en apprécier mieux le goût salé. Arrivé au pli de l’aine, je me détournai quelques instants de mon objectif. M’écartant un peu, je contemplai ma Caroline abandonnée, offerte à mes caresses, les yeux fermés. Son souffle s’était fait plus court, plus profond. Je déposai un baiser sur ses lèvres entrouvertes. Elle ouvrit les yeux :
    
    — J’aime ce que tu me fais, Romain. Je suis à toi. N’oublie pas ce qu’on s’est dit.
    — Je n’oublie pas Caroline. Je ne pense qu’à ça.
    — Tu fais doucement, hein ?
    — Ne t’en fais pas ma chérie. Je ne veux que ton plaisir. Nous avons toute la nuit s’il le faut !
    — Je t’aime.
    
    Je redescendis sur ses seins pour les embrasser, en ...
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