1. Deux plus deux


    Datte: 26/05/2019, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, noculotte, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, amourdura, Auteur: Rimaye, Source: Revebebe

    Résumé épisodes précédents :
    
    Romain a trouvé un nouveau travail dans une petite ville de province. Il est hébergé depuis une semaine chez Julien et Véronique. Chaque soir, il surprend leurs ébats amoureux et partage son plaisir par téléphone avec Caroline, sa femme, restée à Paris. Mais il a également des relations (très) ambigües avec Julien sous la douche, après le sport.
    
    Le vendredi était arrivé. C’était peu dire que j’attendais le train de 21 h 30 avec impatience. La journée m’avait paru interminable, et pourtant j’aurais été incapable de dire ce que j’avais fait. Je crois que j’avais été manger avec mes collègues à midi. Et le soir, chez Julien et Véro, nous avions mangé à l’intérieur, un orage nous ayant chassé de la terrasse. À 21 h 15, je saisis un parapluie et pris le chemin de la gare.
    
    Julien et Véronique habitaient à quelques rues seulement de la gare, et j’arrivai en avance. J’attendis, presque seul sur le quai. Quelques personnes étaient venues attendre des proches. Caroline était partie de Paris quatre heures auparavant – c’était un long voyage. Et pour moi une longue attente. Finalement, l’annonce du train retentit dans les haut-parleurs de la gare. « Éloignez-vous de la bordure du quai s’il vous plaît ! ».
    
    Le train s’immobilisa. C’était un petit TER de seulement deux voitures. Je scrutai les quelques voyageurs qui descendaient. Je vis aussitôt Caroline. Elle était éblouissante, plus belle encore que dans mes souvenirs (une semaine que nous ne ...
    ... nous étions pas vus !). Vêtue d’une robe d’été rouge, elle pliait avec précaution ses belles jambes fuselées chaussées d’escarpins pour descendre de la marche du wagon avec sa lourde valise. Elle n’avait pas eu le temps de revêtir un gilet, et ses frêles épaules nues frissonnaient dans l’air refroidi par l’orage. Ses longs cheveux noirs et bouclés descendaient en cascade sur ses épaules. Elle avait 35 ans, la plénitude des femmes, me dis-je.
    
    Aussi vite que ses escarpins le lui permettaient, elle accourut vers moi. Je fis le chemin en sens inverse, avec hâte, mais mes jambes n’arrivaient pas à accélérer, retardant avec délice l’instant où elle se blottirait contre moi. Elle s’arrêta à un mètre de moi et me sourit. Qu’elle était belle ! Je fondis d’amour en plongeant mon regard dans ses yeux verts. Et je l’attirai à moi, la serrant dans mes bras. Nos lèvres se mêlèrent, nos langues se mélangèrent. Ses petits seins fermes libres de tout soutien-gorge se pressaient contre moi, son ventre se frottait contre le mien, contre mon sexe qui prenait vie avec inconfort dans mon pantalon.
    
    — Viens, lui dis-je, ce n’est pas loin, on y va à pied. Ça ira pour marcher ? Ils sont nouveaux ces escarpins ?
    — Oui, ils sont jolis, hein ? Je les ai achetés pour nos retrouvailles.
    — Ils te vont à ravir. Ça met bien en valeur tes fesses.
    — Tssst, pas touche, on est en public.
    — T’inquiète, je serai sage.
    
    Il nous fallut dix minutes pour revenir chez Julien et Véronique, avec quelques pauses ...
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