Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (8) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (8)

... seins énormes...

— Il nous faudrait une Sud-Américaine. Elles sont chaudes parait-il.

— Mouais et pourquoi pas une trans, tant tu y es. On pourrait l’enculer pendant qu’elle se ferait sucer par ces trois chiennes.

— À étudier, dis-je en explosant de rire. Mais où vont-elles ?

— A la douche, sûrement. Li ! Aux pieds !

Le visage souriant, la petite asiatique vient s’asseoir à côté de son Maître. Lui, il lui caresse les cheveux. Il me félicite sur le dressage de Li, que son con de mec n’avait pas voulu ou su assouvir les pulsions masos de sa nénette. Il me propose de l’attacher à la croix, chose que j’adore.

La croix est disposée de telle manière que la suppliciée peut être torturée des deux côtés, comme chez moi. La pauvre petite Li, du fait de son petit gabarit, est littéralement suspendue et écartelée. Pierrot me tend un paddle en cuir souple.

— Il y a longtemps que tu ne l’as pas rossée ?

— Trop longtemps...

Le premier coup sur ses petites fesses est une mise en bouche. Le second est plus violent. Les suivants se concentrent sur la même zone. Son petit derrière est vite rouge cramoisi, mais la petite Vietnamienne ne dit rien. Les larmes lui coulent sur son visage d’ange. Pierrot s’est assis dans un large fauteuil face à nous et se flatte la queue. Il me sourit.

— Tu penses à ...

... ses petits seins, elle adore ça...

— Je sais, je garde le meilleur pour la fin.

L’envie se lit dans les yeux de Li. Je change d’ustensile. Ce sera une cravache. J’aime assez cet objet. Il permet de donner des coups précis et, en même temps, de caresser les zones devenues sensibles.

Comme pour ses fesses, les coups répétés rougissent sa poitrine. J’alterne entre coups puissants et douces caresses. Li jubile, elle adore cela. Je me place derrière elle et lui prends le cul d’un coup puissant. Je suis au fond, mon pubis cotre ses petites fesses.

— HAN, OUIII... Dit-elle. HUM, merci Maître.

Pierrot bondit de son fauteuil, plia ses genoux et embroche la petite d’un trait, d’un seul. Je sens la bite de mon frère de sang palpiter. Il embrasse Li. Il lui bouffe le museau. Je lui prends ses petits seins meurtris et lui tire les tétons. Elle feule.

On la lime comme des damnés, son trou du cul m’accepte en entier. Elle coule de plaisir et de désir. Li est comme une poupée de chiffon coincée entre deux armoires à glace. Elle gueule son plaisir.

— OUIII, DEFONCEZ-MOI... AAAAHHHH...

— Petite pute, t’as bien fait de larguer ta couille molle de mec et de venir t’installer ici...

— Encore une révélation...

— Ta gueule et fais la crier...

On n’avait pas remarqué le retour de Gégé et Mélissa.