Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (8) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (8)

... célèbre Marquis. De profonds fauteuils et divans sont disposés tout autour de la pièce. Une croix de Saint André, une estrade et une table gynécologique complètent le tout. L’éclairage est subtil, discret mais permet de nous voir parfaitement.

Quand il voit Mélissa, il se lève.

— Putain, la pouliche... Waouh, et mignonne en plus. Ne l’abîme pas, c’est un joyau que tu nous as ramené.

Il la touche, la caresse. Il se félicite d’avoir fait cadeau de cette tenue, qui il est vrai, lui va à ravir. Il remarque les piercings. Il tire sur ceux des seins. Mélissa pousse un léger soupire.

— Et sensible avec ça... Et sa chatte... Hum, elle est trempée.

Il ressort deux doigts trempés et les lui fait sucer. Il les replonge et les fait goûter à sa fille.

— Je sais que tu aimes sucer des chattes, alors ne te prive pas. Mettez-vous sur l’estrade, en 69. Pendant ce temps, que bois-tu mon Jeannot.

— Un pastis, si tu as.

— Évidemment. Allez, petite chienne, deux pastis.

Quelle n’est pas ma surprise de voir Li sortir de derrière le comptoir du bar. Elle est nue et porte déjà des marques de cravache sur les seins et dans le dos.

— Eh oui, me dit Pierre, elle fait partie du club depuis peu. Il y a un mois ? C’est ça ma petite pute ?

— Oui, Monsieur. Depuis que Monsieur Jean a trouvé chaussure à son pied.

— Et toi mec ? Il est où ? Lui demandais-je.

— Il n’est pas convié. Je l’ai largué. Enfin !

— Et les autres invités, demandais-je à pierrot, on n’est ...

... pas que tous les cinq ?

— Non, enfin si. J’ai pensé que pour me faire pardonner...

— Mouais... Un piège ?

— Quel piège, on a tellement à nous dire. Tu as ma fille, Li et Mélissa à ton entière disposition. Tiens, vieux râleur, des amuse-bouche, comme tu les aimes.

Il a fait ça en grand. Foie gras, caviar, saumon fumé... Tout y est. Je bois un second pastis, Pierrot me suit. Une bouteille de champ est débouchée. Les filles reviennent nous rejoindre pour se faire servir par Li. Elles ont la gueule engluée de leurs sécrétions.

— Voilà ou j’ai enfermé Géraldine pendant presque dix ans. Pas en permanence, mais dès que j’avais de la visite.

— Ma visite, sale con.

— Je te connais, tu aurais sauté dessus... Je ne pensais pas que tu allais la connaître au sex-shop. Bâtard.

Je sais, ce langage est assez cru, mais pour nous ce sont des mots d’amour. On rigole, le temps passe à une vitesse phénoménale. On se gave, on boit. L’Ambiance est des plus détendues.

— J’aimerais me faire sucer. Dit-il.

— Mélissa, je t’en prie.

La belle grosse black se met accroupie entre les cuisses musclées de Pierrot. Elle pose les mains sur celles-ci et commence à lécher le pal de mon ami. Gégé en fait de même avec ma tige. On continue à boire, à manger pendant que les deux petites nous pompent le dard. Elles s’imitent en nous prenant en gorge profonde. On est assis sur les tabourets du bar, on a une vue plongeante sur ces deux affamées.

Li nous ressert et les filles nous ...