1. Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (8)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... devant sa proie. Je passe mes mains sur son corps soyeux. Mon sexe est visible comme le nez de Pinoccio. Je bande à m’en faire mal.
    
    — Tu n’as le droit qu’à des branlettes pendant trois semaines, me dit Aurélie, pour elle tu peux la travailler à l’aide tes mains ou de godes. Tiens, voici de la lotion désinfectante.
    
    Après les embrassades je demande combien je lui dois. Rien, Mélissa a réglé la facture en nature et les anneaux ayant été amenés par mes soins. On était quitte.
    
    On rentre à la maison, je commande deux pizzas. Le livreur sera là dans une heure. Je la regarde déambuler de la cuisine à la terrasse. Elle me sert un pastis, pour elle un martini. Je la rejoins. Assise sur un petit tabouret, elle écarte ses grosses cuisses. Ses anneaux lui vont à ravir. Quel contraste entre le doré de ceux-ci et la couleur ébène de sa peau.
    
    La piscine nous tend les bras, mais là aussi, il faut s’abstenir.
    
    Trois semaines, c’est long. Très long, trop long. Francis est passé ce matin pour vérifier l’état de cicatrisation. On a le feu vert. On peut niquer, comme il nous a dit. Je demande à Mélissa d’être sage et d’attendre demain soir, jour de la soirée organisée en son honneur. Elle me sourit, elle est toujours aussi craquante. On a passé le reste de la journée dans la piscine.
    
    Le lendemain, je demande à Mélissa de choisir sa tenue. Elle décide pour le short et le corset en latex blanc, me disant qu’il fait trop chaud pour porter la combinaison intégrale. Je suis d’accord ...
    ... avec elle.
    
    Pour moi, je choisis un pantalon en cuir noir très fin et un marcel, noir également. Mélissa est sublime. Elle fait chienne. Ses lèvres sortent par l’ouverture prévue à cet effet. Ses anneaux sont visibles, dommage que son cul n’est pas accessible. Pas grave, je crois qu’elle ne le gardera pas toute la soirée. Je lui passe des bracelets en cuir blanc aux poignets et aux chevilles. Je l’équipe également d’un collier, mais doré celui-là. Son plug est posé par ses soins.
    
    — Voilà, une bonne grosse chienne.
    
    Je prends une pilule bleue dans ma poche, on ne sait jamais.
    
    22 h 00. Il est temps d’y aller. Je l’installe dans ma "BM" et roule doucement, prudemment, jusque chez Pierrot. Il serait con de se faire arrêter par des représentants de la maréchaussée.
    
    C’est Gégé qui nous ouvre. Elle est habillée, si je puis m’exprimer ainsi, d’une espèce de baudrier noir qui lui remonte sa poitrine. Ravissant. Son cul est pris par un plug noir, sans aucun ornement, si ce n’est une poire de gonflage. Elle nous dirige vers la cave.
    
    — Bonjour toi, me lance un pierrot déjà nu.
    
    Sa queue, bandée, est luisante de salive. J’imagine que lui et sa fille n’ont pas su attendre. Il est totalement épilé, comme moi. Il me demande de me mettre à l’aise. Je me fous à poil. Pas de gêne entre nous. Nous avons levé quelques nénettes sur les plages naturistes près de Marseille et du Cap d’Agde. Ce n’était pas rare que l’on se retrouve à trois dans le même lit.
    
    Les lieux sont dignes du ...
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