Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (8)
Datte: 23/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: tomy83, Source: Xstory
— Tiens, je vous laisse. Il arrive...
Elle s’échappe dans un petit couloir contigu à la cabine. Je le regarde s’avancer fier comme Artaban. Je le regarde avec l’aura qu’il a toujours eue à mes yeux. Je lui saute au cou. D’une prise directe, je me retrouve dos à lui, serré par une clef de bras.
— Du calme mon Jeannot (c’est le seul à m’appeler comme cela), du calme. Je vais tout t’expliquer.
— Pas la peine. Ta fille l’a déjà fait...
— Mais je te dois des explications. Tu te calmes ou je te déboîte l’épaule ?
— Ça va, lâche-moi... Connard ! ! !
Il me lâche, je suis fourbu par cette prise. Je me rassois, prêt à écouter mon ami de toujours. Je ne pipe mot, je le regarde avec colère et interrogation.
— Alors, tu la craches ta Valda, lui dis-je, qu’est que c’est ce binz ?
— Laisse-moi parler. J’ai rencontré Géraldine il y a seize ans. Elle avait huit ans. C’était la fille d’un légios. On était en Centre-Afrique, il a eu un accrochage avec des insurgés, il est mort dans mes bras. Sa femme n’a pas supporté la situation, elle est repartie dans son pays, la Russie, me laissant maison et enfant. La petite s’est retrouvée seule, baladée de foyers miteux et en familles d’accueil. Bref, pour faire rapide, je l’ai recueilli. Au début, pas facile. Elle me méprisait, m’insultant de tous les noms, croyant que j’étais responsable du malheur qui s’était abattu sur sa famille. Elle n’avait pas tort. J’étais le chef d’escouade de cette mission de merde, poursuit-il les ...
... larmes aux yeux. Je l’ai donc recueilli, emmené chez mes parents, mais ils l’ont vite foutu dehors, ne la supportant plus. Je sais, j’aurai dû t’en parler mais j’ai hésité. Je sais, c’est con mais c’est ainsi. On ne se refait pas. J’avais ma fierté mal placée. Donc, je l’ai prise chez moi et je l’ai éduquée comme un homme de troupe. Ça n’a pas été facile au début... Mais...
— Je sais Pierrot, elle m’a expliqué. Je serais toujours là pour vous, lui dis-je en montrant ma cicatrice à mon poignet droit.
— Merci, vieux frère, poursuit-il en me montrant la même. Viens, ici mon poteau.
Il me serre si fort que j’étouffe. Gégé, qui nous a observés, se montre enfin.
— Gégé, ma chérie, sert nous quelque chose à boire.
— Une bière ?
— Ça fera l’affaire. Tu retrouves quand ta pouliche, il paraît qu’elle est canon ?
— Tu connais mon attirance pour les blacks ? De plus elle m’est soumise. Totalement.
— Et quel âge elle a cette chanceuse ?
— 18 ans, je crois...
— Quel tartuffe tu fais, t’as même pas vérifié ? Oh le con.
— Arrête de l’embêter. Il en a eu assez pour aujourd’hui. Quand la présentes-tu ? Ton Pierrot est impatient ?
— Allez, frangin, j’ai hâte de la connaître.
— J’ai dû attendre seize ans, il pourra attendre trois semaines. Non ?
Je récupère les deux tenues, remercie Gégé et Pierrot.
Je suis repassé chez Aurélie. Mélissa est sublime avec ses anneaux dorés aux seins, à son nombril et aux quatre lèvres. Je lui tourne autour comme un lion ...