La sorcière polonaise et le toucan
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
fsodo,
extraconj,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... prenne en photo. Je connaissais très bien le problème, la nature m’ayant doté d’un appendice nasal proéminent et busqué. Jusqu’au collège, on m’appela «le toucan ». Au lycée, je jouais troisième ligne au rugby, et les quolibets disparurent définitivement.
Une tramontane en fin de vie nous accueillit avec une mer agitée et fraîche sur la plage de La Escala. On en profita donc pour bosser d’arrache-pied, trois jours de suite. Antoine avait acheté un fût de bière avec une pompe et il picolait sec, le diable. Très vite, les grands amis de Marie-Jo et de son mari nous invitèrent à l’apéro puis à un barbecue. C’était un couple de retraités grenoblois qui vivaient six mois de l’année dans leur résidence secondaire espagnole. Je les avais déjà rencontrés, quand j’étais venu avec mon épouse. Paulo, le retraité des douanes, avait même profité de ma présence pour que j’aille, avec lui, choisir un ordinateur et que je le lui installe dans un coin de son salon.
Paulo avait pris un sacré coup de vieux. Déjà qu’il y deux ans, il allait fêter ses soixante-dix ans, son accident cardiaque et son pacemaker n’avaient pas arrangé les choses. Son épouse, elle, était restée pareille à elle-même. Solange arborait toujours sa coiffure chrysanthème constituée d’un échafaudage de petites mèches décolorées empilées les unes sur les autres. Bien qu’elle ait dix ans de moins que son mari, sa coiffure lui donnait l’allure d’une fermière de Lozère invitée à une communion en ville. C’est dommage, car ...
... Solange était assez grande et elle pouvait se flatter d’avoir un beau petit cul, des jambes parfaites et une somptueuse paire de nichons. Bien sûr, il fallait qu’elle évite d’ouvrir exagérément la bouche, car elle découvrait alors une dentition quelque peu chevaline.
Le quatrième jour, vu l’avancée prodigieuse des travaux, notre contremaître, Marie-Jo, nous accorda une journée de congé. Je rejetai énergiquement leur invitation d’aller passer, avec eux, la journée à Barcelone ; je préférais profiter de la plage, du soleil et enfin, me régaler d’une baignade prolongée dans de l’eau qui ne sentait pas le chlore, vu que je passais deux heures par semaine en piscine.
La matinée à la plage fut féerique : un livre de P. Desproges, un de sudokus, une mer d’huile, encore assez fraîche quand même et les rayons d’un soleil qui vous inondaient le corps. Juste comme je m’assoupissais un peu, après mon repas solitaire du midi, le crissement des pneus d’une voiture qui freinait brutalement me réveilla. Quand j’aperçus Solange jaillir de son cabriolet et marcher à grands pas dans ma direction, je pressentis qu’un malheur était arrivé au douanier : un nouvel incident cardiaque, le pacemaker en panne. Bref, j’étais bon pour emmener le papy aux urgences et sucrer mon après-midi sur le sable chaud. Le pas de Solange était si déterminé que ses gros seins se balançaient vivement, verticalement, dans un rythme synchrone parfait, sous la légère robe d’été.
En fait, son mari était en parfaite ...