1. Dernier combat


    Datte: 14/05/2019, Catégories: ff, freresoeur, amour, Oral fantastiqu, fantastiq, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... vibromasseurs, lapins, canards et autres objets vibrants non identifiés dans la ménagerie coquine, pompes à seins suceuses de tétons, boules de geisha, aspirateurs à clitoris, plugs anaux, poupées gonflables et masturbateurs pour homme. Des menottes et des bâillons parmi les accessoires de bondage, également. Il y a même un « Sybian », la Rolls des engins de plaisir vibrants, mais sans électricité, il est inutilisable, au cas où il nous prendrait la fantaisie de l’essayer. L’armoire à pharmacie contient des aphrodisiaques sous différentes formes. Des gélules d’amphétamines, aussi. Ces dernières sont pour nous, pour nous donner de l’ardeur au combat qui se prépare.
    
    Dans la salle de bains, nous découvrons une impressionnante collection d’huiles de massage de tous parfums. Nous prenons le temps de découvrir ces fragrances variées. Iris aime les senteurs capiteuses de violette ; je partage son goût et nous gardons la bouteille.
    
    En parlant de bouteille, le réfrigérateur est garni d’un Jéroboam de champagne – trois litres de petites bulles. Même à température ambiante, il nous fournira généreusement nos derniers verres de condamnées. Il entre dans le sac et nous l’emportons avec nous.
    
    Puis, nous déménageons nos affaires à l’air libre, au sommet de la tour qui nous servira dorénavant de poste d’observation. L’endroit est balayé par tous les vents et domine largement les autres immeubles, nous offrant un point de vue unique sur les alentours. Nous nous installons là. ...
    ... Jusqu’au crépuscule, rien ne bouge. Comme d’habitude. Iris profite de ce moment de répit pour s’offrir une sieste. Je veille pour surveiller les environs. De toute manière, il serait imprudent de dormir ensemble : nous risquerions d’être surprises dans notre sommeil, ce serait trop bête de finir contaminées ainsi.
    
    Longuement, je la regarde dormir : elle a une extraordinaire capacité à s’assoupir à l’endroit où elle se trouve en oubliant tout, simplement. Son visage est détendu et merveilleusement paisible. Sa bouche exprime en même temps la gourmandise et la douceur – elle dit que sur ce point, nous nous ressemblons, et que la mienne possède aussi une légèreté qui fait chaque jour son bonheur. Sous son corsage, sa charmante poitrine se soulève en rythme régulier. Son corps est mon pays de lait et de miel. Mon cœur s’enflamme de désir pour elle, mais je me retiens de la toucher.
    
    Alors je me caresse moi-même, après m’être complètement déshabillée. Même en l’absence de contexte érotique, sa seule présence à mes côtés suffit à m’émoustiller. Les jambes légèrement écartées, je palpe mes seins d’une main et de l’autre, humectée de salive, je titille le clitoris que j’ai en feu en le pinçant à travers son fourreau entre index et majeur. Les doigts glissent rythmiquement sur la petite colline ; cela fait un joli petit bruit de sexe moite : slurp, slurp. Nous sommes en plein soleil : à cause de la chaleur, je suis imbibée de transpiration qui ruisselle entre mes seins et sur mon ...
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