Graffiti
Datte: 14/05/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
pénétratio,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... d’excitation que provoque ce contact. Elle ne se prive pas d’en prendre la mesure à pleines mains, les seins pressés contre mon torse. Apparemment satisfaite, elle me tend ses lèvres.
Faisant fi de tout scrupule hygiénique, je laisse nos muqueuses s’accoler, nos langues se trouver, nos salives se mélanger. Objectivement, pour quelqu’un de si sensible que moi, le cocktail de saveurs qu’offre sa bouche est corsé. Contre toute attente, l’intense attrait érotique de cette conjonction me fait dépasser ma répulsion. Aussi longtemps que dure ce premier baiser, je jouis sans arrière-pensée de ce que nous partageons, de nos corps qui s’unissent, des émotions qui montent en moi, de mon envie d’elle que son abandon décuple.
Quelques heures plus tôt, j’aurais été terrassé par un haut-le-cœur à la seule idée de goûter à sa salive de fumeuse. C’est tout le contraire qui se produit. Dès la seconde où j’entre dans ce baiser vorace, quelque chose se libère en moi, une porte s’ouvre sur un monde inconnu de sensualité et de plaisirs débridés.
Je ne suis plus très sûr du détail de ce qui se passe ensuite. Seules quelques images intenses, quelques sensations troublantes sont aujourd’hui encore au fond de ma mémoire.
D’une manière ou d’une autre, elle réussit à débrancher cette partie raisonnable de moi qui, d’habitude, dit « non, attention, pas maintenant ! ». L’entendre murmurer quelque chose comme « tout, tout de suite et à donf, s’il te plaît ! » me donne le coup de grâce et ...
... s’impose comme une renaissance.
Après ? Eh bien, disons qu’elle me baise. Savamment, longuement, méticuleusement, sans une once de romantisme, ni fioritures. Nous lançons nos corps à l’assaut l’un de l’autre, pour qu’ils se gavent du désir le plus brut, des plus animales pulsions. Nous en jouissons d’une incomparable manière.
Plus rien d’autre n’a d’importance que ce que ma queue arrive à lui faire découvrir, que ce cul qu’elle me tend en suppliant de la remplir profondément.
Le besoin de jouir suinte par tous nos pores, par tous nos orifices, avec ce que cela implique d’exhalaisons en tous genres. Je me découvre friand du parfum de son corps excité. Comme si sa sueur de femelle, imprégnée de la nicotine qui sature ses émonctoires, pénétrait en moi de la plus insidieuse manière. Comme si ces miasmes prenaient peu à peu le pouvoir sur ma volonté et sur ma virilité.
Je bande formidablement. Mon sang pulse dans ma queue et la gonfle au-delà du raisonnable. De grosses gouttes de sueur coulent sur mon torse et sous mes bras. Elle les lèche avec application, sans pour autant cesser de m’exciter par de surprenantes secousses du bassin. Comme un étalon fou de désir, soumis à la violence de son instinct copulatoire, je lance ma verge triomphante à la recherche de son fourreau humide et étroit. Trouvant entre ses fesses de quoi apaiser mes tensions génitales, je la transperce d’impérieux coups de reins. Par sa manière de m’accompagner, de s’offrir, elle me fait abandonner tout ...