Evolutions (13)
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory
... temps.
Mon amante, appuyée contre le meuble qui est lui-même fixé au sol et contre le mur, se retrouve immobilisée et qui plus est en équilibre sur un pied. Cependant, cela n’a pas l’air de l’incommoder, et c’est moi qui fais aller et venir mon sexe, en accélérant peu à peu la cadence, mais en gardant un rythme modéré. C’est sans surprise que j’entends sa respiration devenir de plus en plus profonde, et se transformer au bout d’un moment en halètements.
Bien entendu, ces changements sont en coordination avec le fait que sa stimulation augmente, que son conduit devient de plus en plus dilaté, et qu’il s’est lubrifié en conséquence. Cela permet à mon sexe de coulisser plus librement, pourtant je m’applique à ne pas aller plus vite, de manière à prolonger au maximum ces instants de pure extase.
La montée du plaisir est par conséquent à la fois lente et progressive, non seulement le mien, mais également celui de mon petit bout de femme, que je peux observer à loisir grâce au miroir. Les expressions de son beau visage se sont en effet modifiées, puisque si au départ il reflétait de la concentration, il s’est détendu pour ensuite montrer la montée de son excitation, puis se crisper quelques instants au moment de l’orgasme, pour finir par s’amollir une fois ce dernier passé. Bien entendu, il en a été de même avec son vagin, et au moment où ce dernier a été pris de spasmes, j’ai éjaculé en elle tandis que mon amante poussait un gémissement, qui n’a bien évidemment pas été ...
... provoqué par la douleur.
₪₪₪
Lorsque notre plaisir est consommé, je reste quelques instants planté dans Alice, tout en continuant à la caresser. Ensuite, je me recule pour que mon sexe redevenu flasque puisse se retirer, et je la prends par la main pour l’emmener dans la douche italienne.
Une fois que nous y sommes, nous nous lavons de la même manière qu’hier, c’est-à-dire que je prends soin de son corps en le savonnant avant qu’elle ne s’occupe du mien, à la différence que cette fois, nous nous faisons des shampoings. De plus, je prends un malin plaisir à faire coulisser plus longtemps mon majeur dans sa rondelle, sans qu’elle me fasse la moindre remarque à ce sujet. Et j’ai la bonne surprise de constater que lorsque vient son tour de nettoyer mon anus, elle s’enhardit à faire pareil, mais moins longtemps.
Laver la longue chevelure d’Alice n’a pas été pour moi un problème, mais au contraire un véritable plaisir, la seule difficulté étant de faire attention à ce que la mousse n’aille pas dans ses yeux. Mais les choses se corsent lorsqu’il s’agit ensuite de brosser sa crinière, après que nous soyons rincés et frottés avec des serviettes-éponges.
Mon petit bout de femme s’est assise sur un tabouret, et je suis debout derrière elle en agissant avec précautions, de peur de tirer de façon trop brusque, sur les nœuds qui se sont immanquablement formés dans ses cheveux humides. Cependant, je ne dois pas m’en sortir trop mal, étant donné qu’elle me remercie d’un sourire ...