Evolutions (13) - Histoires de Sexe

Evolutions (13)

ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 13 : Le lavabo.

Nous nous sommes couchés sans nous laver, après qu’Alice se soit remise nue, et lorsque je me réveille au matin de ce dernier dimanche de mai, la première chose à laquelle je pense est la conversation que nous avons eue avant de nous endormir. Mon petit bout de femme est ouverte à l’idée de se faire sodomiser, tout comme elle l’a été pour plusieurs choses qu’elle n’avait jamais faites avant, comme par exemple aller nue dehors. C’est bien évidemment pour moi une excellente nouvelle, surtout si l’on considère que plus de la moitié de mes anciennes compagnes m’ont refusé l’entrée de l’endroit le plus secret de leur anatomie.

J’ai pourtant découvert cette pratique avec Anaïs, la toute première d’entre elles, et c’est elle qui me l’avait demandé. Elle ne prenait pas la pilule, et avait alors pensé que ce serait un excellent moyen de contraception naturelle. Bien entendu, au début, nous y sommes allés en douceur, mais nous avons fini par en raffoler autant l’un que l’autre, si bien qu’il s’est passé environ un an, avant que je ne m’introduise en elle par le vagin. Elle m’a ensuite quitté pour un autre, plus grand plus beau et plus riche, et pour finir, je ne sais pas ce qu’elle est devenue.

Mathilde, mon ex-femme, acceptait également que je ...

... m’introduise en elle par la petite porte, même si elle disait lorsqu’elle était en société, qu’elle trouvait cela dégoûtant et dégradant. Elle était le genre de personne qui voulait paraître bien sous tous rapports, mais qui, dans l’intimité ne se gênait pas pour se comporter comme la dernière des cochonnes. Un peu comme nous avons commencé à le faire par jeu avec Alice.

En ce qui concerne Charlène, la femme de Marc et mon amie, elle vit sa sexualité sans se poser de questions, et je ne compte plus le nombre de fois que nous l’avons prise en double avec son mari, l’un par-devant et l’autre par-derrière. Et pour ce qui est de Dorine, elle considère que le sexe est un art, par conséquent, il n’a de limites que celles de notre volonté, et selon elle, chacun doit fixer les siennes en fonction de ses goûts ou de sa morale.

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J’ai fait ce petit bilan, tandis que je me suis tourné vers Alice pour la regarder dormir. Son corps magnifique se trouve exactement dans la même position qu’hier matin et à nouveau découvert, avec la même coiffure de nuit. Elle émet son petit ronronnement que je trouve toujours charmant. Ses cuisses sont écartées pour dévoiler sa vulve aux grandes lèvres pleines, avec entre elles leurs petites sœurs chiffonnées, et je me mets à espérer que cela ne changera jamais.

Avant qu’elle n’ouvre les yeux, je sais que mon petit bout de femme est réveillée, puisqu’elle resserre instinctivement les jambes. Mais sa contre-réaction presque immédiate me fait sourire, ...