Evolutions (13) - Histoires de Sexe

Evolutions (13)

... tu devais y penser depuis déjà un bon moment.

Mon amante ne rougit même pas, lorsqu’elle réplique :

— Bien entendu, puisque c’est ce que nous avions prévu de faire.

— Alors pourquoi est-ce que tu as réagi de cette façon, lorsque je t’ai empêchée de bouger de là ?

— Parce que je pensais que tu attendrais qu’on soit sous la douche, et que j’ai trouvé amusant que tu ne sois pas capable de te retenir jusqu’à ce qu’on y arrive. Mais ne te méprends pas, j’en avais envie autant que toi, tout comme j’ai envie que tu me fourres ta bite dans le con sans faire de chichis.

— Oui, c’est ce que j’avais cru remarquer.

— Alors tu attends quoi ?! Je te rappelle que ton ami va arriver dans un peu plus d’une demi-heure, par conséquent on n’a pas trop le temps de discuter, pour ce qui est de savoir lequel de nous deux est le plus pervers.

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Bien évidemment, Alice a raison, par conséquent j’approche mon gland de sa vulve, en pliant légèrement les jambes pour être à la bonne hauteur, étant donné que même avec ses mules, je suis encore plus grand qu’elle de huit centimètres. D’autant plus qu’elle s’est à nouveau cambrée, sans doute pour que mon sexe puisse pénétrer dans son vagin de façon plus naturelle.

Mais même si mon petit bout de femme a montré son impatience, je n’ai pas l’intention de la prendre avec rudesse, parce que cela ne correspond pas à mon humeur du moment. Par conséquent, j’enfonce ma queue lentement dans son conduit, tout en posant mes mains sur ses ...

... gros seins dans le but de les caresser. Mon amante ne semble d’ailleurs plus être si pressée que ça, puisqu’elle ne me demande pas d’aller plus vite ni d’être plus brusque, et elle se contente de continuer à fixer mon reflet dans la glace.

Une fois que je ne peux pas aller plus profondément, je me recule toujours sans aucune hâte, et en laissant mon gland en elle. Tandis que je marque un temps d’arrêt, tout en agaçant avec mes doigts ses tétons devenus durs, Alice en profite pour tester la solidité du lavabo, en pesant dessus de tout son poids avec ses mains. La vasque ne bronchant pas, satisfaite, elle lève sa cuisse droite pour la poser sur le bord, ouvrant de ce fait ses cuisses en grand.

Je ne doute pas un seul instant que c’est dans le but que je puisse pénétrer en elle plus profondément, c’est pourquoi je lui dis non sans humour :

— Si tu t’étais trouvé un type avec une bite plus longue, tu n’aurais pas besoin de faire du yoga.

Elle me répond du tac au tac :

— Si je devais en changer, j’en prendrais un moins bavard.

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Là je suis scotché, parce que c’est certainement la première fois de ma vie qu’une femme me demande de parler moins. Cependant, cette remarque me plaît énormément, puisqu’elle signifie qu’Alice n’aime pas les bavardages inutiles, ce qui est en accord avec mon propre caractère. Par conséquent, je n’ajoute pas une parole, et tout en continuant à caresser sa douce et généreuse poitrine, je m’enfonce à nouveau en elle en prenant mon ...